Jérôme Lebeau et sa mère ont été mis en examen et placés en détention provisoire, ce lundi 1er mai 2017. Ils vont être transférés rapidement vers Paris où ils seront entendus par les juges en charge de la lutte contre le terrorisme.
Lundi, il n’aura qu’une une heure aux magistrats de La Réunion pour signifier à Jérôme Le beau et sa mère leur mise en examen pour : « tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste criminelle. »
La mère et son fils ont immédiatement été placés en détention provisoire et attendent désormais d’être transférés vers Paris où ils seront entendus par les juges en charge de la lutte contre le terrorisme.
Un précédent en 2015
Les magistrats veulent savoir, si des cibles avaient été définies.
Si oui, par qui ? Et, éventuellement, si Jérôme Lebeau bénéficiait de complicités sur le sol de La Réunion ?
En 2015 déjà, un dionysien de 21 ans, suspecté d’être radicalisé avait été interpellé et mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Quatre autres personnes avaient été arrêtées avec l’Egyptien (Ndlr : son surnom). Si les présumés « complices » étaient ressortis libres, le « recruteur » avait lui été placé en détention provisoire avant d’être transféré à Paris. Il aurait convaincu et organisé le départ d’un Réunionnais vers la Syrie.
La mère et son fils ont immédiatement été placés en détention provisoire et attendent désormais d’être transférés vers Paris où ils seront entendus par les juges en charge de la lutte contre le terrorisme.
Un précédent en 2015
Les magistrats veulent savoir, si des cibles avaient été définies.
Si oui, par qui ? Et, éventuellement, si Jérôme Lebeau bénéficiait de complicités sur le sol de La Réunion ?
En 2015 déjà, un dionysien de 21 ans, suspecté d’être radicalisé avait été interpellé et mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Quatre autres personnes avaient été arrêtées avec l’Egyptien (Ndlr : son surnom). Si les présumés « complices » étaient ressortis libres, le « recruteur » avait lui été placé en détention provisoire avant d’être transféré à Paris. Il aurait convaincu et organisé le départ d’un Réunionnais vers la Syrie.