L'affaire des paillottes n'arrête pas de faire des remous. C'est une rondavelle à la Saline qui est cette fois-ci concernée. Les travaux réalisés par les exploitants n'ont pas été validés par le Domaine Public Maritime (DPM)
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Isabelle Bruneau est dégoûtée. En juin 2016 cette Bordelaise et deux autres associés remportent l'appel d'offres lancé par la SPL Tamarun portant sur l'exploitation d'une rondavelle à La Saline. Ils investissent 125000 euros pour aménager les locaux et les abords. Ils construisent des murs en bois pour fermer un des deux kiosques. Ils fabriqueent également une terrasse en bois. Des travaux pour lesquels ils n'avaient pas demandé de permis de construire. Sauf qu'en mars dernier, lorsqu'ils sont enfin prêts à accueillir leurs premiers clients, ils n'ont pas l'autorisation de Tamarun d'exploiter.
En mai des négociations sont entamés auprès de la SPL pour résoudre cette situation. Aucune solution n'a été trouvée, le Domaine Public Maritime mettant son veto à ces aménagements illégaux car cet événement se déroule en pleine affaire des paillotes.
Dépités, les 3 associés ont décidé de porter plainte pour escroquerie contre la SPL Tamarun, la mairie de Saint-Paul et leur notaire. Ce qu'ils réclament, c'est de pouvoir récupérer leur investissement.
En mai des négociations sont entamés auprès de la SPL pour résoudre cette situation. Aucune solution n'a été trouvée, le Domaine Public Maritime mettant son veto à ces aménagements illégaux car cet événement se déroule en pleine affaire des paillotes.
Dépités, les 3 associés ont décidé de porter plainte pour escroquerie contre la SPL Tamarun, la mairie de Saint-Paul et leur notaire. Ce qu'ils réclament, c'est de pouvoir récupérer leur investissement.
Isabelle Bruneau et ses deux associés n'exploiteront jamais la rondavelle de la Saline
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