La situation rentre progressivement dans l'ordre, trois jours après l'éboulis qui a endommagé deux canalisations au Tampon.
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Un éboulis a impacté, jeudi, les canalisations du Pont du Diable et des Hirondelles au Tampon. Depuis, des milliers d'abonnés sont privés du précieux liquide au robinet. Les équipes de Sudéau sont sur site depuis pour sécuriser et mettre en oeuvre les purges et les travaux nécessaires. Des travaux qui avant plus vite que prévu semble-t-il. L'une des canalisations a déjà été réparée, l'autre devrait l'être dans les prochaines heures.
Une nouvelle qui va ravir les riverains qui doivent s'approvisionner depuis aux citernes mises en place par la municipalité. Aujourd'hui encore, les quartiers de Bras de Pontho, Pont d’Yves, Chemin Pétreas Haut et Bas, SHLMR 17ième, Chemin Jules Hoarau, Chemin Statis, Chemin Picard, Chemin Badamier, Grand Tampon partie haute et basse, Ville Blanche, Léopold Brabant, Chemin Boissy, Bérive, Bras Creux et Petit Tampon sont affectés par un manque de pression voire des manques d'eau.
Des citernes d'eau non potable à usage strictement sanitaire ont été mises en place sur certains sites pour pallier l'approvisionnement en eau avant le retour à la normale. La liste est disponible sur le site de Sudéau.
Les précisions de Patrick Smith et Jacques Payet:
Une nouvelle qui va ravir les riverains qui doivent s'approvisionner depuis aux citernes mises en place par la municipalité. Aujourd'hui encore, les quartiers de Bras de Pontho, Pont d’Yves, Chemin Pétreas Haut et Bas, SHLMR 17ième, Chemin Jules Hoarau, Chemin Statis, Chemin Picard, Chemin Badamier, Grand Tampon partie haute et basse, Ville Blanche, Léopold Brabant, Chemin Boissy, Bérive, Bras Creux et Petit Tampon sont affectés par un manque de pression voire des manques d'eau.
Des citernes d'eau non potable à usage strictement sanitaire ont été mises en place sur certains sites pour pallier l'approvisionnement en eau avant le retour à la normale. La liste est disponible sur le site de Sudéau.
Les précisions de Patrick Smith et Jacques Payet: