Un accident grave impliquant deux voitures et un tracteur s'est produit un peu après 7 h sur la RN 2 en direction de Saint-Benoît juste avant la sortie de Bourbier. Le bilan est lourd, quatre blessés dont un gravement. Il a été héliporté au CHU de Saint-Denis.
La route de Bourbier a été fermée à la circulation, ce lundi 7 juillet 2019 de 8h à 9h, pour permettre aux secours d'intervenir. Vers 7 h 20, les sapeurs-pompiers de Saint-Benoît sont appelés à intervenir pour un accident, impliquant deux voitures et un tracteur. Sans être descendus des véhicules, les secouristes prennent conscience de la gravité de cette collision. Le tracteur est légèrement endommagé, la Mégane ressemble encore à une voiture, en revanche la 207 a été pulvérisée.
Les gendarmes de Saint-Benoît ont ouvert une enquête pour déterminer la cause de ce terrible accident. Les premières constatations laisseraient penser que l'un des véhicules roulait trop vite, cependant il est impossible d'être affirmatif et les conclusions des militaires semblent, seules, à pouvoir réellement répondre aux interrogations.
Quatre Blessés dont un grave
Après avoir apporté les premiers soins aux conducteurs, de la Renault et du tracteur, qui étaient encore choqués, les sapeurs-pompiers de l'Est ont tout mis en œuvre pour venir en aide aux occupants de la petite Peugeot. Ils ont été obligés de découper l'habitacle pour extraire les victimes du piège de métal.
Le passager, qui se trouvait à l'arrière de la 207, a été touché, mais son état, jugé sérieux, permettait de le transporter sans risque vers l'hôpital de Saint-Benoît. En revanche, les médecins-urgentistes ont demandé à l'hélicoptère du Smur de venir pour évacuer le conducteur vers le CHU de Saint-Denis. L'homme est très gravement blessés.
L'hélicoptère du Smur évacue le blessé grave
Les gendarmes de Saint-Benoît ont ouvert une enquête pour déterminer la cause de ce terrible accident. Les premières constatations laisseraient penser que l'un des véhicules roulait trop vite, cependant il est impossible d'être affirmatif et les conclusions des militaires semblent, seules, à pouvoir réellement répondre aux interrogations.