La forte houle annoncée a touché le littoral saint-louisien. Dans la nuit du mercredi 18 au mardi 19 avril, des déferlantes ont fini leur course dans les case installée le long du boulevard de l'Etang.
Vidéo réalisée par Ramou Savariaye, domicilié en bord de mer à Saint-Louis
Il est une heure du matin, ce jeudi 19 avril 2018, Éliane ne dort plus, les vagues ont traversé la chaussée, détruit un muret de moellons, franchi sa clôture, inondé son jardin, sa terrasse pour finir leurs courses dans son salon. Elle n'est pas la seule dans le quartier de Bel-Air à Saint-Louis à ne plus dormir au milieu de la nuit. Comme ses voisins et voisines, elle tente, serpillière en main d'effacer les traces de la, ou les, vagues qui déferlent sur le littoral. Pour la troisième fois, en moins d'un an les riverains du boulevard de l'Étang sont confrontés à ce phénomène. Ces houles répétitives inquiètent les habitants du secteur qui, malgré le danger, ont préféré rester dans leurs cases cette nuit. La mairie avait installé un PC ORSEC afin d'accueillir les familles en danger. Une mairie qui est pointée du doigt. Document en main, les sinistrés dénoncent les travaux de protection qui devaient être effectués depuis le mois de mars 2018. "Nous sommes au mois d'avril".
Il est une heure du matin, ce jeudi 19 avril 2018, Éliane ne dort plus, les vagues ont traversé la chaussée, détruit un muret de moellons, franchi sa clôture, inondé son jardin, sa terrasse pour finir leurs courses dans son salon. Elle n'est pas la seule dans le quartier de Bel-Air à Saint-Louis à ne plus dormir au milieu de la nuit. Comme ses voisins et voisines, elle tente, serpillière en main d'effacer les traces de la, ou les, vagues qui déferlent sur le littoral. Pour la troisième fois, en moins d'un an les riverains du boulevard de l'Étang sont confrontés à ce phénomène. Ces houles répétitives inquiètent les habitants du secteur qui, malgré le danger, ont préféré rester dans leurs cases cette nuit. La mairie avait installé un PC ORSEC afin d'accueillir les familles en danger. Une mairie qui est pointée du doigt. Document en main, les sinistrés dénoncent les travaux de protection qui devaient être effectués depuis le mois de mars 2018. "Nous sommes au mois d'avril".