Les deux activistes du KURR qui avaient participé à la destruction à coups de masses, des paillotes de l'Hermitage-les-Bains, 8 avril 2018, seront fixés sur leur sort ce jeudi 25 avril 2019. Le délibéré a été repoussé. Le parquet avait requis 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis.
Les opposants aux paillotes sont devant la justice ce jeudi. Ils vont enfin connaître la décision judiciaire suite au dégradations qu'ils avaient commis sur les paillotes de l'Hermitage-les-Bains, il y a un an.
Le 8 avril 2018, ils étaient entre 150 et 200 manifestants, sur la plage de l'Hermitage-les-Bains, contre l'implantation de paillotes en bordure du lagon. Parmi eux, Clément Dubar, 28 ans et Antony Cayambo, 44 ans, membres actifs du Kollectif Union Rényoné Responsab (KURR), qui s'étaient démarqués en détruisant les restaurants de plage à coups de masse. Les prévenus n'ont jamais nié leur implication. Ils avaient agi à visage découvert devant les objectifs des cameramen et des photographes.
Après plusieurs reports les deux hommes avaient finalement étaient jugés le 12 mars dernier par le tribunal correctionnel de Saint-Denis. Si Antony Cayambo a refusé de s'exprimer sur les faits, Clément Dubar a justifié son geste en soulignant que qu'à ses yeux c'est une manière de défendre l'environnement.
À l'issue des débats, le procureur de la République avait requis une peine de 18 mois de prison dont six mois ferme. La décision dans la journée.
Le 8 avril 2018, ils étaient entre 150 et 200 manifestants, sur la plage de l'Hermitage-les-Bains, contre l'implantation de paillotes en bordure du lagon. Parmi eux, Clément Dubar, 28 ans et Antony Cayambo, 44 ans, membres actifs du Kollectif Union Rényoné Responsab (KURR), qui s'étaient démarqués en détruisant les restaurants de plage à coups de masse. Les prévenus n'ont jamais nié leur implication. Ils avaient agi à visage découvert devant les objectifs des cameramen et des photographes.
Un acte écologique
Après plusieurs reports les deux hommes avaient finalement étaient jugés le 12 mars dernier par le tribunal correctionnel de Saint-Denis. Si Antony Cayambo a refusé de s'exprimer sur les faits, Clément Dubar a justifié son geste en soulignant que qu'à ses yeux c'est une manière de défendre l'environnement.
À l'issue des débats, le procureur de la République avait requis une peine de 18 mois de prison dont six mois ferme. La décision dans la journée.