Fille de Sal Davis, légende de la musique kenyane, et d’une italo-allemande, Maia Von Lekow a beaucoup bourlingué dans sa jeunesse avant de revenir s’établir sur sa terre natale voilà dix ans. Et la voici au Sakifo
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Autant influencée par Ella Fitzgerald que par Miriam Makeba, elle joue une musique délicate et épicée à la fois, dont Drift, premier album paru en 2013, puis sa suite éponyme (2017) sont d’éclatants manifestes.
Une fluidité d’écriture certaine et une polyvalence musicale bluffante qui ont déjà séduit de nombreux festivals africains d’envergure, de Zanzibar au Maroc en passant par l’Afrique du Sud. Après un premier passage remarqué il y a deux ans, Maia revient enchanter le Sakifo de sa présence magnétique.
Une fluidité d’écriture certaine et une polyvalence musicale bluffante qui ont déjà séduit de nombreux festivals africains d’envergure, de Zanzibar au Maroc en passant par l’Afrique du Sud. Après un premier passage remarqué il y a deux ans, Maia revient enchanter le Sakifo de sa présence magnétique.
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