L’heure est au bilan pour le monde agricole. Nombreux sont les exploitants à avoir subi d’importantes pertes lors du passage de Fakir. A Salazie, maraîchers et horticulteurs ont perdu 70 à 80% de leur production.
Des vents violents, des pluies torrentielles, les exploitations ont souffert mardi dernier. Fakir, la forte tempête tropicale, a porté un nouveau coup dur aux agriculteurs déjà éprouvés par une saison des pluies particulièrement intense.
Au Bélier, en contre-bas de Grand Ilet à Salazie, Paulin Técher, horticulteur et président du groupement des agriculteurs de Mare à Martin, a perdu gros. Comme d’autres de ce haut lieu de la fleur coupée, le professionnel estime avoir perdu près de 80% de sa production.
Plus haut, à Grand-Ilet, Inel Boyer a lui aussi subi de lourdes pertes. Le maraîcher doit tout recommencer, ses courgettes, brèdes et autres légumes sont détruits. Pour lui, cette situation aurait pu être évitée s’il n’avait pas été surpris par l’arrivée de Fakir. Il estime en effet que l’alerte n’a pas été clairement donnée la veille du passage de la forte tempête tropicale.
Au Bélier, en contre-bas de Grand Ilet à Salazie, Paulin Técher, horticulteur et président du groupement des agriculteurs de Mare à Martin, a perdu gros. Comme d’autres de ce haut lieu de la fleur coupée, le professionnel estime avoir perdu près de 80% de sa production.
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Plus haut, à Grand-Ilet, Inel Boyer a lui aussi subi de lourdes pertes. Le maraîcher doit tout recommencer, ses courgettes, brèdes et autres légumes sont détruits. Pour lui, cette situation aurait pu être évitée s’il n’avait pas été surpris par l’arrivée de Fakir. Il estime en effet que l’alerte n’a pas été clairement donnée la veille du passage de la forte tempête tropicale.