Plusieurs opérations de contrôle de Sécurité Routière ont été menées hier soir à Saint-Denis. Les causes d'accidents graves étaient ciblées: vitesses excessives et conduites sous addictions. Les policiers ont ainsi procédé à plusieurs rétentions de permis ainsi que des gardes à vue.
•
Hier, lors des contrôles de la Délégation Départementale de la Sécurité Routière du SIAAP sur Saint-Denis, la formation motocycliste interceptait treize conducteurs en excès de vitesse, dont deux pour lesquels la vitesse retenue dépassait la limite autorisée de plus de 30km/h.
Sur un autre point, le Groupe de Sécurité Routière procédait également à ce type de contrôle. La vitesse d'un véhicule était contrôlée en agglomération à 87km/h pour une vitesse limite autorisée de 70 km/h.
Quatre délits étaient ensuite relevés à l'encontre de ce même conducteur pressé. Les vérifications entreprises à la suite du contrôle montraient qu'il circulait avec une alcoolémie délictuelle vérifiée à 0,61 mg d'alcool/litre d'air expiré (soit 1,22g par litre de sang). Il s'avérait conduire sans permis, ayant restitué son titre suite à un solde de point nul en 2019. Cet état résultait notamment d'une précédente alcoolémie délictuelle relevée à Saint-Pierre en 2017, qualifiant la récidive de ce délit. Il était trouvé en possession d'un rouleau de "zamal". Enfin, le dépistage au stupéfiant réagissait positivement. Le véhicule appartenant à un parent du conducteur était immobilisé et placé en fourrière.
Hier soir, outre la dizaine de contraventions formalisée, notamment pour irrespect de feu ou encore défaut de ceinture pour enfant ou passager, deux immobilisations et trois rétention de permis étaient réalisées.
Six délits étaient constatés à savoir un défaut d'assurance, un défaut de permis de conduire, une conduite avec usage de stupéfiant et une conduite avec une alcoolémie positive, le taux retenu étant de 0,59 mg d'alcool par litre d'air expiré.
De plus, un conducteur, sortant d’un restaurant, circulait lui en récidive d'alcoolémie, avec un taux de 0,53 mg/l. De surcroît, il n’avait pas encore récupéré son permis à l'issue de l'alcoolémie précédente datant de 2017. Il a donc été placé en garde à vue.
La Compagnie Départementale d'Intervention en maraude sur le secteur surprenait un véhicule circulant à contre-sens dans un carrefour giratoire. L'individu conduisait avec une alcoolémie délictuelle de 0,79 mg/l.
Nouvellement propriétaire de sa voiture, le conducteur n'avait pas souscrit à l'assurance obligatoire. Enfin, il faisait l'objet d'une fiche de recherche. Il a également été placé en garde à vue.
« En 2019, la présence de l'alcool ou des stupéfiants était relevée dans plus de 70% des accidents mortels de la circulation constatés dans la zone relevant de la Police Nationale. Ce constat accablant était confirmé hier encore où, en deux contrôles, dix délits étaient relevés dont sept s'avéraient en lien avec ces problématiques » indique le communiqué des forces de l’ordre.
Sur un autre point, le Groupe de Sécurité Routière procédait également à ce type de contrôle. La vitesse d'un véhicule était contrôlée en agglomération à 87km/h pour une vitesse limite autorisée de 70 km/h.
Quatre délits étaient ensuite relevés à l'encontre de ce même conducteur pressé. Les vérifications entreprises à la suite du contrôle montraient qu'il circulait avec une alcoolémie délictuelle vérifiée à 0,61 mg d'alcool/litre d'air expiré (soit 1,22g par litre de sang). Il s'avérait conduire sans permis, ayant restitué son titre suite à un solde de point nul en 2019. Cet état résultait notamment d'une précédente alcoolémie délictuelle relevée à Saint-Pierre en 2017, qualifiant la récidive de ce délit. Il était trouvé en possession d'un rouleau de "zamal". Enfin, le dépistage au stupéfiant réagissait positivement. Le véhicule appartenant à un parent du conducteur était immobilisé et placé en fourrière.
Hier soir, outre la dizaine de contraventions formalisée, notamment pour irrespect de feu ou encore défaut de ceinture pour enfant ou passager, deux immobilisations et trois rétention de permis étaient réalisées.
Six délits étaient constatés à savoir un défaut d'assurance, un défaut de permis de conduire, une conduite avec usage de stupéfiant et une conduite avec une alcoolémie positive, le taux retenu étant de 0,59 mg d'alcool par litre d'air expiré.
De plus, un conducteur, sortant d’un restaurant, circulait lui en récidive d'alcoolémie, avec un taux de 0,53 mg/l. De surcroît, il n’avait pas encore récupéré son permis à l'issue de l'alcoolémie précédente datant de 2017. Il a donc été placé en garde à vue.
La Compagnie Départementale d'Intervention en maraude sur le secteur surprenait un véhicule circulant à contre-sens dans un carrefour giratoire. L'individu conduisait avec une alcoolémie délictuelle de 0,79 mg/l.
Nouvellement propriétaire de sa voiture, le conducteur n'avait pas souscrit à l'assurance obligatoire. Enfin, il faisait l'objet d'une fiche de recherche. Il a également été placé en garde à vue.
« En 2019, la présence de l'alcool ou des stupéfiants était relevée dans plus de 70% des accidents mortels de la circulation constatés dans la zone relevant de la Police Nationale. Ce constat accablant était confirmé hier encore où, en deux contrôles, dix délits étaient relevés dont sept s'avéraient en lien avec ces problématiques » indique le communiqué des forces de l’ordre.