La distance kilométrique est une donnée parfois trompeuse. Pour rallier Roche Plate depuis Grand Place, « seulement » 8200 mètres à parcourir. Pourtant cette portion de la Diagonale des Fous est l’une des plus redoutées des concurrents à cause de l’important dénivelé cumulé sur le parcours.
•
Lorsqu’on quitte Grand Place pour le Bloc, la montée est généreuse mais elle n’est qu’un avant-goût de ce qui attend les concurrents du Grand Raid. Le panorama magnifique que l’on découvre au fil de l’ascension nous aide à oublier les douleurs musculaires générées.
Le Piton Calumet, le Piton Cabris, le Branchard et d’autres sommets offrent tout un panel d’évasions pour les yeux par leur beauté et la diversité de leur physionomie. Il faut pourtant rester concentrer sur nos pas car au loin, la Brèche, Ti’Col et Tête Dure annoncent les prochaines réjouissances du Maïdo et il serait peu aviser de s’y projeter avant d’atteindre la Roche Ancrée.
L’étape est marquée par une double difficulté. D’abord, une descente rapide sur un sentier escarpé de moins de 2 kilomètres, comptant 414 mètres de dénivelé négatif !
Une fois atteint le lit de la rivière, juste le temps de tremper les pieds dans l’eau glaciale et de se ressourcer face à des cascades magiques, il faut s’attaquer à 668 mètres de dénivelé positif étalés sur près de 5 kilomètres.
Une ascension terrible pour ne pas dire dévastatrice si elle doit s’opérer en plein soleil. Ici, pas ou peu de végétation pour s’abriter. C’est l’heure de vérité. Celle où les organismes sont mis à rude épreuve. Les marches ou galets à gravir nous rappellent combien le thé népalais de Grand Place était fort agréable.
Le challenge est simple pour les concurrents du Grand Raid : il faut atteindre l’école de Roche Plate avant le samedi 20 octobre 11h. Ceux du Trail de Bourbon, arrivant par Trois Roches, bénéficieront eux d’une prolongation jusqu’à 17h30.
Point commun pour beaucoup de trailers, le ravitaillement à Roche Plate sera salutaire. Il n’est pas rare que le lieu se transforme en dortoir à ciel ouvert. Chacun espérant ainsi reprendre des forces avant l’ultime défi de Mafate, à savoir, l’ascension du Maïdo !
Le Piton Calumet, le Piton Cabris, le Branchard et d’autres sommets offrent tout un panel d’évasions pour les yeux par leur beauté et la diversité de leur physionomie. Il faut pourtant rester concentrer sur nos pas car au loin, la Brèche, Ti’Col et Tête Dure annoncent les prochaines réjouissances du Maïdo et il serait peu aviser de s’y projeter avant d’atteindre la Roche Ancrée.
La Roche Ancrée : une double difficulté
L’étape est marquée par une double difficulté. D’abord, une descente rapide sur un sentier escarpé de moins de 2 kilomètres, comptant 414 mètres de dénivelé négatif !
Une fois atteint le lit de la rivière, juste le temps de tremper les pieds dans l’eau glaciale et de se ressourcer face à des cascades magiques, il faut s’attaquer à 668 mètres de dénivelé positif étalés sur près de 5 kilomètres.
Une ascension terrible pour ne pas dire dévastatrice si elle doit s’opérer en plein soleil. Ici, pas ou peu de végétation pour s’abriter. C’est l’heure de vérité. Celle où les organismes sont mis à rude épreuve. Les marches ou galets à gravir nous rappellent combien le thé népalais de Grand Place était fort agréable.
Roche Plate : la pause indispensable
Le challenge est simple pour les concurrents du Grand Raid : il faut atteindre l’école de Roche Plate avant le samedi 20 octobre 11h. Ceux du Trail de Bourbon, arrivant par Trois Roches, bénéficieront eux d’une prolongation jusqu’à 17h30.
Point commun pour beaucoup de trailers, le ravitaillement à Roche Plate sera salutaire. Il n’est pas rare que le lieu se transforme en dortoir à ciel ouvert. Chacun espérant ainsi reprendre des forces avant l’ultime défi de Mafate, à savoir, l’ascension du Maïdo !