465 cachets d’ecstasy ont été saisis par la Police Nationale. Le mis en cause a été déféré au Tribunal de Grande Instance de Saint-Denis. Les produits stupéfiants étaient vendus via la réseau social Facebook.
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La Brigade des Stupéfiants était avisée par la Brigade numérique de la Gendarmerie Nationale de l’existence d’un trafic d’ecstasy via l’utilisation des Réseaux sociaux en l’espèce « FACEBOOK ».
Un individu utilisait son profil pour proposer à la vente divers modèles de cachets d’ecstasy. Une enquête a immédiatement été ouverte.
Après des surveillances et filatures l’auteur du trafic était contrôlé, interpellé et placé en garde à vue en flagrant délit.
La perquisition de son habitation a permis la découverte de 465 cachets d’ecstasy ainsi que la somme de 1050 euros bénéfice de la vente des produits stupéfiants.
L’exploitation de son téléphone portable a apporté de nombreux éléments confirmant le trafic d’ecstasy. Les analyses des échantillons confirment la présence de M.D.M.A. La valeur marchande sur le marché local des produits saisis est de 9 300 euros.
L’argent était confisqué et déposé à la caisse des dépôts et consignation, le téléphone était saisi et scellé (valeur marchande 1259 euros).
L’individu a ainsi reconnu les faits sans équivoque. Il a été déféré au TGI de St Denis.
Un individu utilisait son profil pour proposer à la vente divers modèles de cachets d’ecstasy. Une enquête a immédiatement été ouverte.
Après des surveillances et filatures l’auteur du trafic était contrôlé, interpellé et placé en garde à vue en flagrant délit.
La perquisition de son habitation a permis la découverte de 465 cachets d’ecstasy ainsi que la somme de 1050 euros bénéfice de la vente des produits stupéfiants.
L’exploitation de son téléphone portable a apporté de nombreux éléments confirmant le trafic d’ecstasy. Les analyses des échantillons confirment la présence de M.D.M.A. La valeur marchande sur le marché local des produits saisis est de 9 300 euros.
L’argent était confisqué et déposé à la caisse des dépôts et consignation, le téléphone était saisi et scellé (valeur marchande 1259 euros).
L’individu a ainsi reconnu les faits sans équivoque. Il a été déféré au TGI de St Denis.