José, américaine ou encore ruby devraient être nombreuses sur les marchés en fin d’année. La saison des mangues s’annonce en effet très bonne, de l’avis des producteurs.
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A l’heure de la floraison, les producteurs de l’île semblent déjà satisfaits. La saison s’annonce en effet excellente. Les mangues devraient donc être au rendez-vous pour la fin d’année.
A Saint-Gilles, Alexandre Law-Yat, l’un des plus gros producteurs du département, surveille quotidiennement ses arbres. Chargées de fleurs, les hampes de certains d’entre eux présentent déjà de minuscules fruits.
De 40, il ne restera à maturité que 4 ou 5 fruits sur chaque hampe. Suffisant pour assurer une bonne récolte, assure-t-il. Ses arbres ayant bien résisté au cyclone, Alexandre Law-Yat espère produire entre 400 et 600 tonnes de mangues.
Sur son terrain de 40 hectares, du théâtre de Saint-Gilles au Cap La Houssaye, le producteur fait pousser une quinzaine de variétés, parmi lesquelles josé, américaine ou ruby. 10 à 15 tonnes de josé et d’américaine, les plus prisées, seront d’ailleurs exportées vers le marché hexagonal.
La cueillette devrait débuter à la fin novembre ou début décembre. Patience encore donc pour déguster ces chers fruits sucrés.
Le reportage de Michelle Bertil et Daniel Fontaine.
A Saint-Gilles, Alexandre Law-Yat, l’un des plus gros producteurs du département, surveille quotidiennement ses arbres. Chargées de fleurs, les hampes de certains d’entre eux présentent déjà de minuscules fruits.
De 40, il ne restera à maturité que 4 ou 5 fruits sur chaque hampe. Suffisant pour assurer une bonne récolte, assure-t-il. Ses arbres ayant bien résisté au cyclone, Alexandre Law-Yat espère produire entre 400 et 600 tonnes de mangues.
Sur son terrain de 40 hectares, du théâtre de Saint-Gilles au Cap La Houssaye, le producteur fait pousser une quinzaine de variétés, parmi lesquelles josé, américaine ou ruby. 10 à 15 tonnes de josé et d’américaine, les plus prisées, seront d’ailleurs exportées vers le marché hexagonal.
La cueillette devrait débuter à la fin novembre ou début décembre. Patience encore donc pour déguster ces chers fruits sucrés.
Le reportage de Michelle Bertil et Daniel Fontaine.
Reportage
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