Les requêtes déposées par le collectif de Défense du Domaine Public Maritime jugées irrecevables. Les plaignants demandaient l'annulation des autorisations d'installation des paillotes, le magistrat a estimé qu'ils n'étaient pas fondés à effectuer cette démarche.
Le collectif de Défense du Domaine Public Maritime a été débouté de son action en référé devant le tribunal administratif. Ce jeudi 14 juin 2018, le tribunal administratif a estimé que le collectif représenté par Karl Bellon, ne pouvait pas être considéré comme une association de sauvegarde de l'environnement. Cette spécificité ne fait pas partie de ses statuts et lui interdit toute action légitime devant le tribunal administratif contre les AOT (Autorisation Temporaire d'Occupation) qui ont permis aux restaurants de plage de s'installer au bord du lagon de l'Hermitage.
Les AOT arrivent à terme le 30 juin 2018
Cependant, si cette action s'apparente à un coup d'épée dans l'eau, elle n'est que la suite logique des manifestations contre "la privatisation" du bord de mer qui ont agité les week-ends de ce début d'année 2018. Ces actions, plus ou moins violentes, ont conduit la commune de Saint-Paul à ne pas prolonger les AOT qui permettaient aux restaurateurs d'exploiter le filon du sable blanc et des eaux turquoises depuis des décennies. Ces autorisations arrivent à terme le 30 juin 2018 et ne devraient pas être reconduites.
Les AOT arrivent à terme le 30 juin 2018
Cependant, si cette action s'apparente à un coup d'épée dans l'eau, elle n'est que la suite logique des manifestations contre "la privatisation" du bord de mer qui ont agité les week-ends de ce début d'année 2018. Ces actions, plus ou moins violentes, ont conduit la commune de Saint-Paul à ne pas prolonger les AOT qui permettaient aux restaurateurs d'exploiter le filon du sable blanc et des eaux turquoises depuis des décennies. Ces autorisations arrivent à terme le 30 juin 2018 et ne devraient pas être reconduites.