Le STEG/UTG et le collectif citoyennes-citoyens sont partis bille en tête avec une grande revendication : la nomination d’un recteur guyanais. Ils viennent de signer un protocole d’accord en forme de capitulation. Le terme recteur guyanais n'apparait à aucun moment dans le document.
Nou savé a prézan bloublou pas fini… Et pour paraphraser la chanson de carnaval… sézon darloz éternel !
Le collectif et le syndicat ont bloqué le rectorat autour d’une revendication forte et politique, à savoir la nomination d’un recteur guyanais pour une période de cinq ans. Cinq ans, le temps que dure un projet académique. Un document politique qui dit ce que l’on veut pour l’académie, les moyens d’y parvenir et définit les les temps de passage en plus des outils d’évaluation.
Rien de tout cela dans le protocole… mais vraiment rien. Exemple, le point 1 du document : « Le recteur s’engage à prendre toutes ses responsabilités sur les questions soulevées par les organisations professionnelles et citoyennes concernant la gouvernance ». Merci pour la non information. Tous les autres articles sont de la même engeance.
Cela dit, ce n’est pas une surprise puisque la fin du conflit est signée avec le recteur fraîchement nommé. La vraie et bonne réponse à la revendication initiale ne peut venir que du gouvernement. C’est aussi simple ! Du coup l’exercice de rédaction du document a dû être très compliqué… parce qu’il fallait arriver à ne surtout pas évoquer ce pour quoi il y a eu une mobilisation.
Deux leçons à retenir : Alain Ayong le Kama, le recteur en place, a montré son habileté à négocier et il n’a pas peur de la confrontation.
Pour les syndicats et le collectif, ce n’est pas très glorieux. Il fallait sortir du mouvement avant l’enlisement, C’est fait !
A postériori, après lecture d’un message qui circule sur les réseaux sociaux il saute aux yeux qu’il y a des divergences entre le collectif de Monique Guard et le Steg-UTG dont fait partie Bruno Niderkorn : les deux piliers de l'action. Peut-être une des raisons de l'échec. Sinon la raison !
Le collectif et le syndicat ont bloqué le rectorat autour d’une revendication forte et politique, à savoir la nomination d’un recteur guyanais pour une période de cinq ans. Cinq ans, le temps que dure un projet académique. Un document politique qui dit ce que l’on veut pour l’académie, les moyens d’y parvenir et définit les les temps de passage en plus des outils d’évaluation.
Rien de tout cela dans le protocole… mais vraiment rien. Exemple, le point 1 du document : « Le recteur s’engage à prendre toutes ses responsabilités sur les questions soulevées par les organisations professionnelles et citoyennes concernant la gouvernance ». Merci pour la non information. Tous les autres articles sont de la même engeance.
Cela dit, ce n’est pas une surprise puisque la fin du conflit est signée avec le recteur fraîchement nommé. La vraie et bonne réponse à la revendication initiale ne peut venir que du gouvernement. C’est aussi simple ! Du coup l’exercice de rédaction du document a dû être très compliqué… parce qu’il fallait arriver à ne surtout pas évoquer ce pour quoi il y a eu une mobilisation.
Deux leçons à retenir : Alain Ayong le Kama, le recteur en place, a montré son habileté à négocier et il n’a pas peur de la confrontation.
Pour les syndicats et le collectif, ce n’est pas très glorieux. Il fallait sortir du mouvement avant l’enlisement, C’est fait !
A postériori, après lecture d’un message qui circule sur les réseaux sociaux il saute aux yeux qu’il y a des divergences entre le collectif de Monique Guard et le Steg-UTG dont fait partie Bruno Niderkorn : les deux piliers de l'action. Peut-être une des raisons de l'échec. Sinon la raison !