Les vide-greniers, de bonnes occasions pour offrir une seconde vie à des objets chargés d’histoires

Victor Audoux est propriétaire d’une maison familiale construite à la fin des années 1800. Elle est un héritage laissé par "Monsieur Victor", et avec elle, un lot d’objets anciens.

"Ce sont des verres que l’on ne trouve plus maintenant"

Ce samedi 26 août, cet habitant de l’archipel organisait chez lui un vide-grenier : "comme il y a de nouveaux arrivants, ça leur permet de trouver leur bonheur" souffle-t-il.

On a trouvé une série de verres qui vient du temps où mon père tenait un bar. Ce sont des verres que l’on ne trouve plus maintenant.

Victor Audoux, organisateur d’un vide-grenier

Proposés à moindre coût, ces verres feront sans doute, comme d’autres objets vendus ce jour-là, le bonheur de leurs nouveaux acquéreurs.

Dès qu’il peut y avoir des vinyles, j’essaie de venir. Parfois, on a d’agréables surprises.

Joël Disnard, collectionneur de vinyles

Le reportage de Linda Saci et Gaël Ho-A-Sim :

Collectionneurs, passionnés de vintage ou férus de bonnes affaires… À chacun sa motivation. Ces petits trésors sortis tout droit du grenier auront droit à une seconde vie, sans que les acheteurs ne connaissent leur histoire.

Vide-greniers : mode d’emploi

Dans l’archipel, plusieurs vide-greniers étaient organisés cet été. Si vous aussi vous souhaitez en organiser un, sachez qu’il existe certaines conditions à respecter pour ce type de vente appelée également "vente au déballage".

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Par an, seulement deux ventes sont autorisées. Une déclaration auprès de la mairie est nécessaire, sous peine d’une amende de 15 000 euros.

Selon la loi, un vide-greniers donne la possibilité à des particuliers de vendre "exclusivement que des objets personnels et usagés".