Chasse au chevreuil : quand effort et patience paient enfin

/
À l'occasion de la chasse au cerf de Virginie, Saint-Pierre et Miquelon la 1ère a pu suivre une équipe de la deuxième bordée. Quand la patience paye enfin, cela ne signifie pas pour autant la fin de l'effort. Abattre une bête ne suffit pas, il faut ensuite préparer le gibier.

"La patience a beaucoup plus de pouvoir que la force", écrivait le philosophe grec Plutarque. Sans doute avait-il déjà participé à une partie de chasse. Pour certains chasseurs, il faudra des journées entières d'attente avant de croiser la route d'un chevreuil. Pour d'autres, un cerf les attendra à quelques centaines de mètres de la cabane de chasse, quelques minutes après le début de la journée.

À lire également : Chasse au chevreuil : quand la deuxième bordée débarque à Belliveau

Après avoir félicité le tireur et s'être assuré que la bête est bien morte, il faut rapidement passer au dépeçage. Les viscères d'abord, pour alléger l'animal, puis la découpe de certains organes ensuite, avant d'imbiber la chair avec du vinaigre pour éviter les parasites.

À lire également : Chasse au chevreuil : la battue, une affaire de patience et de stratégie

Élise Marné et Flavie Bry ont accompagné les chasseurs. Retrouvez ici le dernier épisode d'une série de trois reportages :

©saintpierreetmiquelon