Après le renvoi, le mardi 29 janvier, de l'affaire du Street Shop de Papeete, le procureur de la République, Hervé Leroy, a voulu faire une mise au point sur les faits reprochés à l'un des prévenus et sur la législation en matière de stupéfiants en Polynésie.
Mardi 29 janvier, en raison de l'absence de l'un des prévenus, Nicolas Veyssière, le procès du Street shop de Papeete a été renvoyé au 23 avril prochain. Le mis en cause est actuellement en détention provisoire à Toulouse, où il avait ouvert un commerce exerçant la même activité qu'à Tahitui. Son avocat, maître Thibault Millet, indiquait que les " 2 dossiers n'avaient rien à voir ". Une analyse que ne partage pas le procureur de la République, Hervé Leroy.
Les avocats de Nicolas Veyssière ont déposé deux QPC. Des Questions prioritaires de constitutionnalité portant notamment sur " la définition " jugée " imprécise des stupéfiants " par maître Thibault Millet. Pour Hervé Leroy ces QPC ne sont pas " sérieuses ", " le trafic de stupéfiants est incriminé et réprimé en Polynésie Française ".
Nicolas Veyssière sera jugé le 14 février à Toulouse. Son procès à Tahiti, est prévu le 23 avril.
Hervé Leroy " Même enseigne à Papeete et à Toulouse "
Les avocats de Nicolas Veyssière ont déposé deux QPC. Des Questions prioritaires de constitutionnalité portant notamment sur " la définition " jugée " imprécise des stupéfiants " par maître Thibault Millet. Pour Hervé Leroy ces QPC ne sont pas " sérieuses ", " le trafic de stupéfiants est incriminé et réprimé en Polynésie Française ".
Hervé Leroy " les QPC ne sont pas sérieuses "
Street shop ; la mise au point d’Hervé Leroy
Nicolas Veyssière sera jugé le 14 février à Toulouse. Son procès à Tahiti, est prévu le 23 avril.