A l’Anse-Vata, les taxi-boats ont repris leur activité ce matin, cinq jours après le dramatique accident qui a fait deux morts, un disparu et quatre blessés. Une reprise timide et un personnel encore marqué par cet accident qui reste fort heureusement très rare.
Selon les premiers éléments de l’enquête, pilotée par la gendarmerie maritime, l’alcool ne serait pas en cause. D’après quelques témoins, l’un des bateaux naviguait tous feux éteints au moment du choc frontal. Une hypothèse réfutée par un salarié de l’entreprise, qui assure que la sécurité reste leur priorité.
Pour l’heure, ni le gérant de la société, ni la gendarmerie ne souhaite s’exprimer. L’enquête, qui s’annonce encore longue, tentera de faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame.
Selon les premiers éléments de l’enquête, pilotée par la gendarmerie maritime, l’alcool ne serait pas en cause. D’après quelques témoins, l’un des bateaux naviguait tous feux éteints au moment du choc frontal. Une hypothèse réfutée par un salarié de l’entreprise, qui assure que la sécurité reste leur priorité.
Pour l’heure, ni le gérant de la société, ni la gendarmerie ne souhaite s’exprimer. L’enquête, qui s’annonce encore longue, tentera de faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame.