Dans le cadre des journées du patrimoine, le comité yole de Martinique à l’Unesco a organisé une course locale de godillage, geste essentiel à la pratique de la yole. S’il y parvient, il pourrait ouvrir d’autres champs d’intérêt pour les acteurs économiques du pays.
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Bien mener sa barque, c’est l’objectif du jour. Mais il faudra concentrer ses efforts et son énergie pour manier la godille surtout lorsque l’embarcation est composée de 2 équipiers.
Sans voile, et sans vent, pour avancer, "une simple respiration entre chaque coup de pagaie", c'est le conseil Patrick Mucré, ancien coursier habitué de la godille. "Sans une bonne technique, ils vont devoir ramer encore longtemps".
(Re)voir notre reportage avec Thierry Maisonneuve.
Assurer la transmission, un rôle tenu pour l’instant par les patrons de yole. Aujourd’hui, l’objectif est que la pratique soit étendue à l’ensemble de population. Car finalement nous sommes tous dans le même bateau quand il s’agit de la promotion de notre territoire.
Sans voile, et sans vent, pour avancer, "une simple respiration entre chaque coup de pagaie", c'est le conseil Patrick Mucré, ancien coursier habitué de la godille. "Sans une bonne technique, ils vont devoir ramer encore longtemps".
(Re)voir notre reportage avec Thierry Maisonneuve.
Dans le cadre des journées du patrimoine, le comité yole de Martinique à l’Unesco a organisé une course locale de godillage, geste essentiel à la pratique de la yole martiniquaise.
Former une nouvelle génération et sauvegarder la pratique de la yole. C’est dans ce cadre que la Martinique est candidate au patrimoine mondial de l’Unesco, rappelle Alain-Claude Lagier, responsable du comité de pilotage à l’Unesco.Assurer la transmission, un rôle tenu pour l’instant par les patrons de yole. Aujourd’hui, l’objectif est que la pratique soit étendue à l’ensemble de population. Car finalement nous sommes tous dans le même bateau quand il s’agit de la promotion de notre territoire.