La création de ce comité est le signe de tenter de se donner des outils de lutte même si nos îles sont pour l'essentiel épargnées par la délinquance comme l'a montré récemment un rapport du Ministère de l'Intérieur.
La délinquance à Wallis et Futuna n'a rien d'alarmant. La Procureure de la République, Antonia Tamole et le Commandant de gendarmerie, Pascal Cwieck, en attestent, chiffres à l'appui. Nous sommes loin de ceux de la plupart des régions d'Outre-mer, hormis Saint-Pierre et Miquelon.
Ce côté serein est souvent la première impression des nouveaux arrivants. La création de ce Comité vise à donc plus à prévenir -et à faire reculer encore les quelques moints gris -sinon noirs...- qu'à régler une urgence.
Pour Marcel Renouf, un des secteurs où les attitudes doivent changer est le cercle privé. "Nous avons des domaines où nous avons des soucis en termes de violences, familiales, conjugales vis à vis des enfants. C'est des sujets sensibles, des sujets délicats" explique le préfet, Marcel Renouf. Et de préciser : "L'objet de ce Comité territorial, c'est de pouvoir définir des plans d'action. Avec des partenaires, associations, les services de l'Etat et du Territoire qui vont développer des actions pour faire la prévention de toutes les formes de délinquance, quelles quelles soient."
Pour l'instant, uniquement des pistes : la lutte contre l'échec scolaire -générateur de dérives-,, un meilleur accompagnement des victimes de violences ou des activités -comme le sport- préparant les futurs citoyens à respecter des règles du "vivre ensemble".
Une première enveloppe de vingt mille euros sont débloqués par le fonds interministériel de Prévention de la délinquance auquels pourront s'ajouter des financements par les Services concernés.
Le tout nouveau Comité "rattrape" en quelque sorte en cours le Plan national de Prévention de la Délinquance 2013-2017.
Les participants se sont séparés en se donnant un mois pour collecter les projets d'actions avant d'arbitrer. Prochain rendez-vous en juillet.
Ce côté serein est souvent la première impression des nouveaux arrivants. La création de ce Comité vise à donc plus à prévenir -et à faire reculer encore les quelques moints gris -sinon noirs...- qu'à régler une urgence.
Bonne situation générale mais des zones d'ombre
Autour de la table de réunion à l'administration supérieure essentiellement des chefs de service. Pas d'élus -retenus ailleurs ou absents du Territoire- ni de représentants coutumiers en raison de la situation actuelle (deux chefferies, deux Rois).Pour Marcel Renouf, un des secteurs où les attitudes doivent changer est le cercle privé. "Nous avons des domaines où nous avons des soucis en termes de violences, familiales, conjugales vis à vis des enfants. C'est des sujets sensibles, des sujets délicats" explique le préfet, Marcel Renouf. Et de préciser : "L'objet de ce Comité territorial, c'est de pouvoir définir des plans d'action. Avec des partenaires, associations, les services de l'Etat et du Territoire qui vont développer des actions pour faire la prévention de toutes les formes de délinquance, quelles quelles soient."
Nouvelle réunion en juillet
Pour l'instant, uniquement des pistes : la lutte contre l'échec scolaire -générateur de dérives-,, un meilleur accompagnement des victimes de violences ou des activités -comme le sport- préparant les futurs citoyens à respecter des règles du "vivre ensemble".Une première enveloppe de vingt mille euros sont débloqués par le fonds interministériel de Prévention de la délinquance auquels pourront s'ajouter des financements par les Services concernés.
Le tout nouveau Comité "rattrape" en quelque sorte en cours le Plan national de Prévention de la Délinquance 2013-2017.
Les participants se sont séparés en se donnant un mois pour collecter les projets d'actions avant d'arbitrer. Prochain rendez-vous en juillet.