Francois JAPIOT, le coordinateur régional "Agriculture BIO"du projet INTEGRE était l'invité de nos journaux télévisés de lundi 16 octobre. Il évoque l'importance des ateliers techniques régionaux et annonce la multiplication par 6 du budget INTEGRE pour l'agriculture biologique.
Favoriser le partage des connaissances entre agriculteurs
Si l’utilisation des pesticides n’est pas d’actualité à Wallis et Futuna, la question de la fertilité du sol aura certainement un écho plus important auprès des agriculteurs, comme l’explique François Japiot: « L’une de nos premières priorités c’est la fertilité du sol, tous les agriculteurs nous l’ont répété lors des précédents ateliers »
Des méthodes moins agressives pour la terre comme la mise en jachère, largement pratiquée à Wallis et Futuna, peuvent être préconisées pour améliorer la qualité du sol. La problématique de la fertilité est centrale lors des ateliers techniques, notamment dans le cas où les terrains exploitables venaient à manquer.
Le coordinateur régional du projet INTEGRE met en avant l’intérêt des ateliers techniques sur l’agriculture biologique pour un partage de compétences entre agriculteurs.
« on va privilégier les échanges de savoir faire entre agriculteurs, même si les techniciens seront là aussi pour apporter des informations supplémentaires».
Le prochain budget pour l’agriculture biologique pourrait être multiplié par 6
Encore un an avant la fin du projet INTEGRE en 2018. Depuis 2013, ce dispositif financé par le 10ème Fond Européen de développement (FED) travaille auprès de 4 pays et territoires Outremer pour soutenir des projets de gestion régionale de l’environnement.
Un premier bilan sur les projets d’agriculture biologique soutenus par INTEGRE sera fait à la fin des ateliers techniques à Wallis selon François JAPIOT.
« on va multiplier le budget consacré à l’agriculture bio par au moins 6 ou 7 » soit plus de 600 millions de francs pacifique pour les 4 territoires et pays outremer du Pacifique.
Ils travaillent depuis un an à la préparation du 11ème FED et si la suite du projet INTEGRE n’est pas encore connue, il est clair que le développement de l’agriculture biologique va être maintenu.
« Une très bonne nouvelle » selon François JAPIOT qui répète l’intérêt de l’Union Européenne, des Territoires et Pays d’Outremer et à commencer par les agriculteurs pour ce projet.
Si l’utilisation des pesticides n’est pas d’actualité à Wallis et Futuna, la question de la fertilité du sol aura certainement un écho plus important auprès des agriculteurs, comme l’explique François Japiot: « L’une de nos premières priorités c’est la fertilité du sol, tous les agriculteurs nous l’ont répété lors des précédents ateliers »
Des méthodes moins agressives pour la terre comme la mise en jachère, largement pratiquée à Wallis et Futuna, peuvent être préconisées pour améliorer la qualité du sol. La problématique de la fertilité est centrale lors des ateliers techniques, notamment dans le cas où les terrains exploitables venaient à manquer.
Le coordinateur régional du projet INTEGRE met en avant l’intérêt des ateliers techniques sur l’agriculture biologique pour un partage de compétences entre agriculteurs.
« on va privilégier les échanges de savoir faire entre agriculteurs, même si les techniciens seront là aussi pour apporter des informations supplémentaires».
Le prochain budget pour l’agriculture biologique pourrait être multiplié par 6
Encore un an avant la fin du projet INTEGRE en 2018. Depuis 2013, ce dispositif financé par le 10ème Fond Européen de développement (FED) travaille auprès de 4 pays et territoires Outremer pour soutenir des projets de gestion régionale de l’environnement.
Un premier bilan sur les projets d’agriculture biologique soutenus par INTEGRE sera fait à la fin des ateliers techniques à Wallis selon François JAPIOT.
« on va multiplier le budget consacré à l’agriculture bio par au moins 6 ou 7 » soit plus de 600 millions de francs pacifique pour les 4 territoires et pays outremer du Pacifique.
Ils travaillent depuis un an à la préparation du 11ème FED et si la suite du projet INTEGRE n’est pas encore connue, il est clair que le développement de l’agriculture biologique va être maintenu.
« Une très bonne nouvelle » selon François JAPIOT qui répète l’intérêt de l’Union Européenne, des Territoires et Pays d’Outremer et à commencer par les agriculteurs pour ce projet.