200 tonnes de légumes importés par an à Wallis et Futuna, soit 40 millions de francs pacifique. C'est la preuve que les besoins sont importants. Et quand il s'agit de production locale 100% bio la demande est encore plus importante. Un bémol, la production ne suit pas.
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200 tonnes de légumes importés par an à Wallis et Futuna, soit 40 millions de francs pacifique. C'est la preuve que la demande est très forte et que le marché s'annonce juteux. Et quand il s'agit de production locale 100% bio elle est encore plus importante. Seulement voilà la production de fruits et légumes locaux n'est pas encore suffisante pour satisfaire la clientèle.
Il existe à peine une petite dizaine de maraîcher sur la place à Wallis dont les récoltes se vendent comme des petits pains.
A Wallis et Futuna chaque famille plante et cultive ses propres légumes, surtout de l'igname, du tarot. Une culture familiale et coutumière.
Il existe cependant des initiatives pour développer le secteur du maraîchage, comme le projet GIJ, mis en place par la CCIMA, la Chambre de Commerce de l'Industrie des Métiers et de l'Agriculture. L'objectif du GIJ est de donner le goût des métiers de la terre aux jeunes générations et de les lancer dans le secteur primaire.
5 mois après son lancement, le GIJ, groupement initiative jeunesse de Hahake en est déjà à sa 3ème vente de légumes. Une production purement locale 100% bio, de quoi faire le bonheur des clients. 99% des leurs produits ont été vendus en à peine quelques heures sur le marché de Akaaka, preuve d'une demande très forte, mais qui souvent se heurte à une production insuffisante parce qu'irrégulière. Le reportage de Sofia Hoatau, et Lagimaina Hoatau:
Il existe à peine une petite dizaine de maraîcher sur la place à Wallis dont les récoltes se vendent comme des petits pains.
A Wallis et Futuna chaque famille plante et cultive ses propres légumes, surtout de l'igname, du tarot. Une culture familiale et coutumière.
Il existe cependant des initiatives pour développer le secteur du maraîchage, comme le projet GIJ, mis en place par la CCIMA, la Chambre de Commerce de l'Industrie des Métiers et de l'Agriculture. L'objectif du GIJ est de donner le goût des métiers de la terre aux jeunes générations et de les lancer dans le secteur primaire.
5 mois après son lancement, le GIJ, groupement initiative jeunesse de Hahake en est déjà à sa 3ème vente de légumes. Une production purement locale 100% bio, de quoi faire le bonheur des clients. 99% des leurs produits ont été vendus en à peine quelques heures sur le marché de Akaaka, preuve d'une demande très forte, mais qui souvent se heurte à une production insuffisante parce qu'irrégulière. Le reportage de Sofia Hoatau, et Lagimaina Hoatau: