A Wallis et Futuna, la première communion d'un aîné est un événement. Au delà de la fête religieuse, il est de coutume que les familles se rassemblent une semaine durant pour accompagner le futur communiant. Ils aident aux préparatifs et à l'accueil des offrandes "fagona".
S'il reste encore une semaine avant le Dimanches des Communions, ce 15 octobre, dans
de nombreux foyers de Wallis et de Futuna c'est l'effervescence.
La première communion de l'aîné d'une famille est, au delà de la célébration religieuse, un événement de la vie coutumière.
Elle donne lieu à des dons aussi imposants que coûteux.
Nattes, étoffes, gatu, cochons, denrées alimentaires, mobilier et parfois voitures, les familles et les proches du futur communiant ne regardent pas à la dépense.
Ce qui compte est de témoigner de son affection ou alors de resserrer les liens familiaux avec les proches que l'on ne côtoie pas fréquemment.
Les préparatifs commencent des mois voire des années avant pour pouvoir recevoir tous ces dons. Un simple merci ne suffit pas, il faut pouvoir soi-même être à la hauteur de l'événement.
La dernière semaine avant les communions, familles et proches se réunissent chez le futur communiant pour aider à l'accueil des dons. Ou tout simplement pour mettre l'ambiance, que ce soit de manière ostentatoire ou en toute simplicité comme chez Kolopa à Mala'etoli...
Un reportage signé AnaVAKALEPU et Mikaele VALUGOFULU.
de nombreux foyers de Wallis et de Futuna c'est l'effervescence.
La première communion de l'aîné d'une famille est, au delà de la célébration religieuse, un événement de la vie coutumière.
Elle donne lieu à des dons aussi imposants que coûteux.
Nattes, étoffes, gatu, cochons, denrées alimentaires, mobilier et parfois voitures, les familles et les proches du futur communiant ne regardent pas à la dépense.
Ce qui compte est de témoigner de son affection ou alors de resserrer les liens familiaux avec les proches que l'on ne côtoie pas fréquemment.
Les préparatifs commencent des mois voire des années avant pour pouvoir recevoir tous ces dons. Un simple merci ne suffit pas, il faut pouvoir soi-même être à la hauteur de l'événement.
La dernière semaine avant les communions, familles et proches se réunissent chez le futur communiant pour aider à l'accueil des dons. Ou tout simplement pour mettre l'ambiance, que ce soit de manière ostentatoire ou en toute simplicité comme chez Kolopa à Mala'etoli...
Un reportage signé AnaVAKALEPU et Mikaele VALUGOFULU.