Il faut faire un diagnostic, on est actuellement en lien avec l’administration supérieure et l’agence de santé. On n’est pas là pour aider les personnes. D’abord, on va s’appuyer sur les personnes pour répondre aux besoins et il faut les connaître. Cela va être le programme particulier de la délégation ici de faire comme on fait en Nouvelle Calédonie, de mener une action sociale auprès des personnes les plus démunis tant au niveau de la sensibilisation et la formation.
Par le passé, des actions de la croix rouge ont déjà été menées à Wallis. Il faut savoir que la dernière délégation territoriale du fenua remonte à 2013, seulement voilà, le bureau n’a jamais été renouvelé. Pour l’instant, la délégation territoriale ne compte que 7 personnes, toutes bénévoles. Avant de pouvoir mettre en place des actions concrètes, la structure souhaite avant tout recruter d’autres personnes de bonne volonté, affirme Patricia Jacquin, bénévole de la délégation de Wallis et Futuna de la croix rouge.
Nous faisons des réunions d’information et nous essayons d’élargir cette information à la population de Wallis pour laquelle on voudrait toucher les jeunes. On ne peut pas s’adresser aux personnes âgées ou ceux qui ont déjà un emploi. On s’adresse surtout aux jeunes qui n’ont pas encore trouver leur voie et j’aimerai leur dire qu’il y a une possibilité par rapport à la croix rouge de trouver quelque chose à faire, toujours dans le bénévolat. On trouve toujours un réseau dans ce genre de chose.
Dans les prochains mois, débutera le deuxième programme de la croix rouge concernant la formation des bénévoles et la sensibilisation des écoliers aux catastrophes naturelles.