Si les thèmes principaux de cette campagne ressemblent aux sujets évoqués en 2012, leur tonalité a changé voire s'est durcie
Vie chère, exode des jeunes, statut de 61, la campagne 2017 résonne comme un lointain écho des joutes de 2012.
Avec tout de même cette année de nouveaux ingrédients pour pimenter les vieilles recettes des discours electoraux.
Ainsi sur le statut de 61, tous les candidats se sont posés en défenseurs de la coutume tout en agitant l’épouvantail du projet de loi organique actant la transformation de Wallis et Futuna en collectivité d’outre-mer.
De leur côté, les candidats de Futuna ont exigé avec plus de force qu’auparavant l’autonomie de leur île par rapport à Wallis.
Des deux côtés du pacifique, la création de liaisons maritime et aérienne entre Wallis, Futuna et Fidji,
idée relancée par François Hollande l’an dernier lors de sa visite sur le territoire,
a réémergé sous forme de consensus.
De même l’augmentation des allocations sociales et la refection du réseau routier ont été réclamés à l’unanimité mais ces deux points relèvent de négociations avec l’Etat et donc le prochain gouvernement, des accords qui restent à trouver sur le pacte social et le contrat de developpement de Wallis et Futuna pour les années 2018-2022.
Cependant l’économie et surtout les moyens d’enrayer l’éxode des jeunes ont constitué le plat de résistance de cette période électorale.
Le seul vrai débat a tourné autour de la stratégie de développement 2017-2030 votée en janvier.
Aux partisans de la priorité au secteur primaire, agriculture elevage pêche, se sont opposés les tenants d’une nouvelle économie fondée sur la mise en service du cable numerique à haut débit l’an prochain.
Des reflexions qui devront passer à la moulinette de la nouvelle majorité bien héteroclite qui s’annonce dans la prochaine assemblée territoriale.
Avec tout de même cette année de nouveaux ingrédients pour pimenter les vieilles recettes des discours electoraux.
Ainsi sur le statut de 61, tous les candidats se sont posés en défenseurs de la coutume tout en agitant l’épouvantail du projet de loi organique actant la transformation de Wallis et Futuna en collectivité d’outre-mer.
De leur côté, les candidats de Futuna ont exigé avec plus de force qu’auparavant l’autonomie de leur île par rapport à Wallis.
Wallis-Futuna-Fidji
Des deux côtés du pacifique, la création de liaisons maritime et aérienne entre Wallis, Futuna et Fidji,
idée relancée par François Hollande l’an dernier lors de sa visite sur le territoire,
a réémergé sous forme de consensus.
De même l’augmentation des allocations sociales et la refection du réseau routier ont été réclamés à l’unanimité mais ces deux points relèvent de négociations avec l’Etat et donc le prochain gouvernement, des accords qui restent à trouver sur le pacte social et le contrat de developpement de Wallis et Futuna pour les années 2018-2022.
Exode des jeunes
L’actualité n’a pas perturbé la campagne que ce soient la pollution de l’eau à Mua, la dengue ou la fermeture de super U.Cependant l’économie et surtout les moyens d’enrayer l’éxode des jeunes ont constitué le plat de résistance de cette période électorale.
Le seul vrai débat a tourné autour de la stratégie de développement 2017-2030 votée en janvier.
Aux partisans de la priorité au secteur primaire, agriculture elevage pêche, se sont opposés les tenants d’une nouvelle économie fondée sur la mise en service du cable numerique à haut débit l’an prochain.
Des reflexions qui devront passer à la moulinette de la nouvelle majorité bien héteroclite qui s’annonce dans la prochaine assemblée territoriale.