Quatre lycéennes sont venues masser les patients au centre de dialyse de Wallis et Futuna. Un bonheur pour les dialysés.
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Des gestes de massage simples et précis pour un objectif : apporter du bien-être aux malades. Estelle, Nancy, Monia et Moe, sont en 1re année SAPAT (Service aux Personnes et aux Territoires) du lycée Vaimoana. Après plusieurs cours sur le massage et ses bienfaits avec la spécialiste Jacqueline FONTEAU, place à la pratique auprès des dialysés. Des patients qui nécessitent une attention particulière, des « personnes fragiles », selon Caroline SAVIGNAC, infirmière spécialisée du centre. Les massages doivent donc être adaptés. Ils diffèrent selon la zone du corps touchée : La tête a besoin de plus de délicatesse, tandis que les mains ou les jambes requièrent plus de force.
Les jeunes filles ont pratiqué différents gestes du massage, en huilant la peau, pour faire remonter le sang des pieds vers le cœur. En travaillant par pression le long des muscles avec la paume de la main, de la cheville vers le mollet. Ce drainage lymphatique est poursuivi par un travail sur la main. Puis un massage du cuir chevelu, au grand bonheur des patients.
Apprendre les techniques de base du massage, acquérir un savoir-être et un savoir-faire, c’est ce que ces élèves apprennent pendant leur formation.
Avec cette mise en pratique, Estelle et ses camarades joignent l’utile à l’agréable. A entendre les patients, un massage à chaque séance de dialyse, qui peut durer entre 3 et 6 heures, cela leur fait du bien. « Ah, si j’avais un massage à chaque dialyse, ça serait tellement bon ! », confie cette patiente aux deux jeunes filles qui prennent soin d’elle.
Caroline, l’infirmière du centre, n’est pas formée pour les massages. Elle aussi a eu droit à « ce soin ». Elle nous confirme : « C’est génial ! A refaire plusieurs fois ! »
Si ces élèves ne sont pas encore des professionnelles du massage, ce genre d’expérience leur apportera d’autres acquis pour leur bac.
Les jeunes filles ont pratiqué différents gestes du massage, en huilant la peau, pour faire remonter le sang des pieds vers le cœur. En travaillant par pression le long des muscles avec la paume de la main, de la cheville vers le mollet. Ce drainage lymphatique est poursuivi par un travail sur la main. Puis un massage du cuir chevelu, au grand bonheur des patients.
Apprendre les techniques de base du massage, acquérir un savoir-être et un savoir-faire, c’est ce que ces élèves apprennent pendant leur formation.
Avec cette mise en pratique, Estelle et ses camarades joignent l’utile à l’agréable. A entendre les patients, un massage à chaque séance de dialyse, qui peut durer entre 3 et 6 heures, cela leur fait du bien. « Ah, si j’avais un massage à chaque dialyse, ça serait tellement bon ! », confie cette patiente aux deux jeunes filles qui prennent soin d’elle.
Caroline, l’infirmière du centre, n’est pas formée pour les massages. Elle aussi a eu droit à « ce soin ». Elle nous confirme : « C’est génial ! A refaire plusieurs fois ! »
Si ces élèves ne sont pas encore des professionnelles du massage, ce genre d’expérience leur apportera d’autres acquis pour leur bac.