L'affaire de la procureur de Wallis s'est bien évidemment invitée ce vendredi matin lors des audiences du tribunal correctionnel. Un homme a demandé au parquet un document officiel prouvant leur droit à siéger.
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Beaucoup de dossiers…«trop de dossiers » déclare le procureur de la république Philippe Pommereul en voyant le nombre de personnes convoquées pour infractions du code de la route : conduite sans port de la ceinture, défaut de permis ou conduite sous l’empire d’un état alcoolique. Sur les 24 affaires à traiter, 21 concernent la sécurité routière. Selon le procureur, « il faut surtout retenir que cela fait partie de la sensibilisation. Les règles doivent être les mêmes, à Wallis comme en Métropole ».
Mais ce qui marquera la journée d’aujourd’hui, c’est l’intervention spectaculaire mais presque sans surprise d’une personne convoquée ce matin, un homme d’une cinquantaine d’années qui demande la parole, il demande au parquet un document officiel pour prouver qu’il a le droit de siéger au tribunal de Mata-utu. Connaissant la situation actuelle du tribunal de Mata-utu, il estime avoir le droit de s’interroger sur la légalité des procédures. Cela a quelque peu bouleversé le déroulement de l’audience puisque le juge Eric Fournie et le procureur ont dû justifier pendant plusieurs minutes leur présence dans la salle d’audience. En effet, s’ils sont là, c’est « parce que Antonia Tamole ne peut pas siéger et parce qu’il n’y a pas de juge à Wallis de façon permanente. »
Mais ce qui marquera la journée d’aujourd’hui, c’est l’intervention spectaculaire mais presque sans surprise d’une personne convoquée ce matin, un homme d’une cinquantaine d’années qui demande la parole, il demande au parquet un document officiel pour prouver qu’il a le droit de siéger au tribunal de Mata-utu. Connaissant la situation actuelle du tribunal de Mata-utu, il estime avoir le droit de s’interroger sur la légalité des procédures. Cela a quelque peu bouleversé le déroulement de l’audience puisque le juge Eric Fournie et le procureur ont dû justifier pendant plusieurs minutes leur présence dans la salle d’audience. En effet, s’ils sont là, c’est « parce que Antonia Tamole ne peut pas siéger et parce qu’il n’y a pas de juge à Wallis de façon permanente. »