L'agression dans les rues de Wellington d'un des principaux ministres néo-zélandais a semé jeudi 14 mars l'incrédulité dans un archipel qui passe pour un havre de tranquillité.
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Le ministre du Changement climatique James Shaw, co-leader du Parti Vert, se rendait jeudi matin à pied vers "la Ruche", comme est surnommé le Parlement néo-zélandais, quand un homme lui a infligé un coup de poing au visage.
Son cabinet a parlé d'une agression "non provoquée" sans caractère politique. Mais le ministre du Commerce David Parker a affirmé aux journalistes que l'agresseur aurait "crié des choses en lien avec les Nations unies".
M. Shaw, dont le Parti appartient à la coalition dirigée par la travailliste Jacinda Ardern, n'a été que légèrement blessé.
Deux passants sont venus à son aide, a indiqué son cabinet. Le ministre a poursuivi son chemin jusqu'au Parlement, où il a participé à une réunion, avant de se rendre à l'hôpital pour être ausculté.
La police a annoncé l'arrestation d'un homme de 47 ans, qui sera présenté vendredi à un tribunal en vue de poursuites.
Les violences politiques sont quasi inconnues en Nouvelle-Zélande. La plupart des ministres de cet archipel de 4,5 millions d'habitants se déplacent sans aucune protection particulière.
Son cabinet a parlé d'une agression "non provoquée" sans caractère politique. Mais le ministre du Commerce David Parker a affirmé aux journalistes que l'agresseur aurait "crié des choses en lien avec les Nations unies".
M. Shaw, dont le Parti appartient à la coalition dirigée par la travailliste Jacinda Ardern, n'a été que légèrement blessé.
Deux passants sont venus à son aide, a indiqué son cabinet. Le ministre a poursuivi son chemin jusqu'au Parlement, où il a participé à une réunion, avant de se rendre à l'hôpital pour être ausculté.
Incrédulité dans un pays considéré comme un havre de paix
La police a annoncé l'arrestation d'un homme de 47 ans, qui sera présenté vendredi à un tribunal en vue de poursuites.
Les violences politiques sont quasi inconnues en Nouvelle-Zélande. La plupart des ministres de cet archipel de 4,5 millions d'habitants se déplacent sans aucune protection particulière.