La présidente de l'Assemblée générale des Nations unies, l'équatorienne Maria Fernanda Espinosa, a annoncé mardi 04 décembre 2018 sa volonté d'intensifier la lutte mondiale contre la pollution des plastiques qui contaminent les corps humains partout sur la planète.
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"80% des plastiques finissent dans les océans. Soit entre 8 et 12 millions de tonnes" chaque année, a déclaré la présidente lors d'une conférence de presse tenue avec le Premier ministre d'Antigua-et-Barbuda, Gaston Browne, actif contre ce fléau.
"D'ici 2050, il y aura plus de plastique dans les mers que de poissons", a-t-elle mis en garde. "Des micro-plastiques sont désormais trouvés dans le sel et dans l'eau" et à cause de cela "chaque personne sur la planète est présumée avoir du plastique dans son corps", a précisé Maria Fernanda Espinosa.
L'intensification de la lutte mondiale vise à compléter des efforts déjà menés entre autres par les organismes ONU environnement, Global Citizen ou National Geographic, a-t-elle précisé.
En février, l'ONU Environnement avait donné le coup d'envoi d'une campagne mondiale, #OcéansPropres, visant à mettre fin aux déchets plastiques.
Lancée lors du Sommet mondial sur les océans organisé à Bali, la campagne #OcéansPropres appelle les gouvernements à adopter des politiques de réduction du plastique, interpelle les industries à minimiser les emballages plastiques et à repenser la conception des produits, et invite les consommateurs à changer leurs habitudes du tout-jetable - avant que les océans ne soient endommagés de manière irréversible.
L'action de la présidente de l'Assemblée générale a pour objectif d'intensifier via les Nations unies la prise de conscience des dégâts causés par le plastique et à limiter son usage dans les agences onusiennes.
Dans le cadre d'une campagne d'information, elle se traduira aussi par plusieurs évènements dont un à New York au printemps pour saluer les initiatives individuelles ou collectives contre le plastique et une signature d'engagements en avril avec Antigua-et-Barbuda et la Norvège.
"D'ici 2050, il y aura plus de plastique dans les mers que de poissons", a-t-elle mis en garde. "Des micro-plastiques sont désormais trouvés dans le sel et dans l'eau" et à cause de cela "chaque personne sur la planète est présumée avoir du plastique dans son corps", a précisé Maria Fernanda Espinosa.
L'intensification de la lutte mondiale vise à compléter des efforts déjà menés entre autres par les organismes ONU environnement, Global Citizen ou National Geographic, a-t-elle précisé.
En février, l'ONU Environnement avait donné le coup d'envoi d'une campagne mondiale, #OcéansPropres, visant à mettre fin aux déchets plastiques.
Lancée lors du Sommet mondial sur les océans organisé à Bali, la campagne #OcéansPropres appelle les gouvernements à adopter des politiques de réduction du plastique, interpelle les industries à minimiser les emballages plastiques et à repenser la conception des produits, et invite les consommateurs à changer leurs habitudes du tout-jetable - avant que les océans ne soient endommagés de manière irréversible.
L'action de la présidente de l'Assemblée générale a pour objectif d'intensifier via les Nations unies la prise de conscience des dégâts causés par le plastique et à limiter son usage dans les agences onusiennes.
Dans le cadre d'une campagne d'information, elle se traduira aussi par plusieurs évènements dont un à New York au printemps pour saluer les initiatives individuelles ou collectives contre le plastique et une signature d'engagements en avril avec Antigua-et-Barbuda et la Norvège.