La pêche miraculeuse, un épisode de la série Nukutapu, a été projeté samedi à Papeete dans le cadre de la 15ème édition du FIFO, Festival International du Film documentaire Océanien.
La pêche miraculeuse de la série Nukutapu a été sélectionné dans la catégorie des courts métrages de fiction. Samedi soir à Papeete en ouverture de cette 15ème édition du Festival International du Film documentaire Océanien,14 courts métrages ont été projetés au public. Nicolas Esturgie, réalisateur et prvoducteur de la série Nukutapu, qui s'est déplacé en Polynésie Française, nous a livré son premier sentiment : "c'était impressionnant de voir une grande salle comme ça avec un grand écran et de savoir que le film qu'on a fait avec passion va être diffusé devant la foule."
La série Nukutapu raconte les aventures ou mésaventures de Tahi, un personnage qui vit seul dans une île, et qui voit ça vie perturbée par l’arrivée d’un groupe de jeunes sur son île. « J’ai été étonné de voir que le public a réagi dès le générique » nous confie Nicolas Esturgie. Entre étonnement et soulagement, le réalisateur ne cache pas ses appréhensions pendant la projection des autres courts métrages, des réalisations néo-zélandaises, néo-calédoniennes et polynésiennes sur des thèmes plus durs. La pêche miraculeuse qui est une comédie a été bien accueillie par le public dans sa majorité, « une bouffée d’oxygène » nous dit Nicolas Esturgie. Nukutapu est une production propre avec des moyens techniques limités, la crainte du réalisateur portait essentiellement sur ça, une crainte qui s'est estompée tout de suite après la projection. "Le public ne s'y attache pas, c'est rassurant" confie ce dernier sur un ton soulagé.
Le verdict sera connu dimanche prochain, les projections du FIFO 2018 se poursuivent toute la semaine.
Une magnifique opportunité pour se faire connaître et faire des rencontres,
Les derniers mots de Nicolas Esturgie "J'ai une certaine fierté de représenter Wallis et Futuna, j'ai surtout une pensée pour les jeunes avec qui je travaille depuis deux ans. Ce qui est déjà super c'est d'assister à ces projections, le bonheur est déjà là, si on a un prix ça sera la cerise sur le gâteau!"
Nukutapu, île Interdite, pêche miraculeuse a fait rire toute la salle. Ce court-métrage a donné une belle leçon de vie : ceux qui se moquent finissent toujours par être pris à leur propre farce. « C’était très amusant », souligne Stéphanie, originaire de Vendée en France qui a assisté à la soirée avec ses amis durant ses vacances polynésiennes
La série Nukutapu raconte les aventures ou mésaventures de Tahi, un personnage qui vit seul dans une île, et qui voit ça vie perturbée par l’arrivée d’un groupe de jeunes sur son île. « J’ai été étonné de voir que le public a réagi dès le générique » nous confie Nicolas Esturgie. Entre étonnement et soulagement, le réalisateur ne cache pas ses appréhensions pendant la projection des autres courts métrages, des réalisations néo-zélandaises, néo-calédoniennes et polynésiennes sur des thèmes plus durs. La pêche miraculeuse qui est une comédie a été bien accueillie par le public dans sa majorité, « une bouffée d’oxygène » nous dit Nicolas Esturgie. Nukutapu est une production propre avec des moyens techniques limités, la crainte du réalisateur portait essentiellement sur ça, une crainte qui s'est estompée tout de suite après la projection. "Le public ne s'y attache pas, c'est rassurant" confie ce dernier sur un ton soulagé.
Le verdict sera connu dimanche prochain, les projections du FIFO 2018 se poursuivent toute la semaine.
Une magnifique opportunité pour se faire connaître et faire des rencontres,
Les derniers mots de Nicolas Esturgie "J'ai une certaine fierté de représenter Wallis et Futuna, j'ai surtout une pensée pour les jeunes avec qui je travaille depuis deux ans. Ce qui est déjà super c'est d'assister à ces projections, le bonheur est déjà là, si on a un prix ça sera la cerise sur le gâteau!"
Nukutapu, île Interdite, pêche miraculeuse a fait rire toute la salle. Ce court-métrage a donné une belle leçon de vie : ceux qui se moquent finissent toujours par être pris à leur propre farce. « C’était très amusant », souligne Stéphanie, originaire de Vendée en France qui a assisté à la soirée avec ses amis durant ses vacances polynésiennes