Tapu Falatea est le premier futunien à avoir signé un contrat avec un club de Top14. Cela fait quatre mois qu'il est dans les effectifs du Castres Olympique, le champion de France en titre. L'intégration se fait pour lui de manière progressive, avec pour le moment une seule apparition sur le terrain
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Trois mois après la début de saison, c'est vrai que Sosefo Tapu Falatea n'a été vu sur le terrain qu'une seule fois et seulement pendant une vingtaine de minutes. C'était en coupe d'Europe, en Angleterre, face à Gloucester. En championnat de TOP14, le pilier futunien était remplaçant ce week-end lors du déplacement à Perpignan, mais il n'a pas joué finalement.
Alors Tapu Falatea a-t-il raté ses débuts dans l'élite du rugby français? A priori non. Cette période de démarrage et d'adaptation était prévue par le club.
"Il arrive chez nous, il découvre pleins de trucs, un niveau de jeu, une exigence, explique l'entraîneur du Castres Olympique Christophe Urios. Il travaille. Ca se passe plutôt bien pour lui. Il faut qu'il continue de progresser".
Effectivement Tapu Falatéa ne ménage pas ses efforts pour acquérir le niveau de ses coéquipiers titulaires. Il travaille beaucoup, notamment sur l'endurance et la vitesse, le point faible souvent des jeunes rugbymans originaires des îles du Pacifique.
"De toutes mes saisons en PRO D2 réunies, je n'ai jamais autant couru. Et ça paye. Je fais des progrès sur la vitesse " (Tapu Falatea)
Le pilier futunien savait que l'arrivée dans l'élite ne serait pas facile. Et pas forcément seulement sur le volet sportif. Les exigences sont plus élevées dans tous les domaines. Par exemple sur la ponctualité lors des entraînements. Tapu Falatea est fier de dire qu'il a accompli de gros efforts sur le côté discipline.
L'autre point positif, c'est que le futunien s'est aussi bien intégré dans l'équipe. En tant que petit niveau arrivant de la deuxième division, il est aidé et épaulé par les autres joueurs.
"Je ne m'attendais pas à ce qu'on m'accueille comme ça. Dans d'autres clubs, c'est la concurrence entre les joueurs. Ici non. Même les joueurs vedettes du club sont là pour m'aider lorsque je me perds" (Tapu Falatea).
Tapu Falatea s'est aussi bien habitué à sa nouvelle vie à Castres, une petite ville qu'il apprécie.
"Castres, avec sa forêt et sa campagne, ça me rappelle un peu Futuna"( Tapu Falatea).
L'objectif premier est maintenant de progresser le plus vite possible pour décrocher pourquoi pas un poste de titulaire. D'ici là Tapu Falatea devra continuer de faire ses preuves en tant que remplaçant. Prochain match pour le Castres Olympique, ce sera samedi 1er décembre à domicile contre le SUA Agen.
Alors Tapu Falatea a-t-il raté ses débuts dans l'élite du rugby français? A priori non. Cette période de démarrage et d'adaptation était prévue par le club.
"Il arrive chez nous, il découvre pleins de trucs, un niveau de jeu, une exigence, explique l'entraîneur du Castres Olympique Christophe Urios. Il travaille. Ca se passe plutôt bien pour lui. Il faut qu'il continue de progresser".
Effectivement Tapu Falatéa ne ménage pas ses efforts pour acquérir le niveau de ses coéquipiers titulaires. Il travaille beaucoup, notamment sur l'endurance et la vitesse, le point faible souvent des jeunes rugbymans originaires des îles du Pacifique.
"De toutes mes saisons en PRO D2 réunies, je n'ai jamais autant couru. Et ça paye. Je fais des progrès sur la vitesse " (Tapu Falatea)
Le pilier futunien savait que l'arrivée dans l'élite ne serait pas facile. Et pas forcément seulement sur le volet sportif. Les exigences sont plus élevées dans tous les domaines. Par exemple sur la ponctualité lors des entraînements. Tapu Falatea est fier de dire qu'il a accompli de gros efforts sur le côté discipline.
L'autre point positif, c'est que le futunien s'est aussi bien intégré dans l'équipe. En tant que petit niveau arrivant de la deuxième division, il est aidé et épaulé par les autres joueurs.
"Je ne m'attendais pas à ce qu'on m'accueille comme ça. Dans d'autres clubs, c'est la concurrence entre les joueurs. Ici non. Même les joueurs vedettes du club sont là pour m'aider lorsque je me perds" (Tapu Falatea).
Tapu Falatea s'est aussi bien habitué à sa nouvelle vie à Castres, une petite ville qu'il apprécie.
"Castres, avec sa forêt et sa campagne, ça me rappelle un peu Futuna"( Tapu Falatea).
L'objectif premier est maintenant de progresser le plus vite possible pour décrocher pourquoi pas un poste de titulaire. D'ici là Tapu Falatea devra continuer de faire ses preuves en tant que remplaçant. Prochain match pour le Castres Olympique, ce sera samedi 1er décembre à domicile contre le SUA Agen.