La fin de la saison cyclonique est propice à la venue de voiliers à Wallis et Futuna. Ce début du mois de juin 2018, le service des douanes enregistre 7 voiliers en stationnement à Wallis. En 2017, plus de 70 navires ont été accueillis sur le Territoire.
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A Wallis et Futuna, la période cyclonique s'est terminée au mois de mai. L'inttermède durera près de 6 mois jusqu'en Novembre. Ce milieu d'année est donc la période idéale pour la navigation vers Wallis. En 2017, plus de 70 bateaux plaisanciers ont franchi la passe de Honikulu. Actuellement le service de la douane au quai de Mata’utu enregistre 7 voiliers, dont celui de Jean-Marc et Françoise ABEL.
Le couple métropolitain est arrivé à Wallis ce samedi 02 juin. Une destination à laquelleils pensent depuis longtemps. Deux jours après leur arrivée, les voici devant le lac Lalolalo. leur rêve se réalise enfin.
Le voyage commence en 2010 pour ce couple de retraités. Depuis, ils ont visité une trentaine de pays. Le Brésil, Guinée-Bissau ou encore les Caraïbes. Dernièrement ils ont sillonné la Polynésie-française. Jean-Marc et Françoise ont été charmés par cette culture, différente de celle de l’Hexagone. De bora-bora jusqu’à wallis, ils ont mis plus de 2 semaines. Jean Marc déclare :
Voici le reportage de Sofia Hoatau et Nicolas Esturgie :
Le couple métropolitain est arrivé à Wallis ce samedi 02 juin. Une destination à laquelleils pensent depuis longtemps. Deux jours après leur arrivée, les voici devant le lac Lalolalo. leur rêve se réalise enfin.
"C'est vraiment mieux en vrai. On est emerveillés"
Le voyage commence en 2010 pour ce couple de retraités. Depuis, ils ont visité une trentaine de pays. Le Brésil, Guinée-Bissau ou encore les Caraïbes. Dernièrement ils ont sillonné la Polynésie-française. Jean-Marc et Françoise ont été charmés par cette culture, différente de celle de l’Hexagone. De bora-bora jusqu’à wallis, ils ont mis plus de 2 semaines. Jean Marc déclare :
"Wallis on connaît grâce aux timbres postes, et plus on avance sur une carte , on voit Wallis et on s'est dit on y va! On découvre et c'est vraiment différent de la Polynésie Française. Le contact a l'air assez simple, rien de compliqué que ce soit le contact avec les douanes ou avec les gendarmes."
Voici le reportage de Sofia Hoatau et Nicolas Esturgie :