Un bateau, de type coque aluminium, s’est retourné ce dimanche 2 septembre 2018 entre le quai de Halalo à Wallis et l’îlot de Saint Christophe, avec à son bord 9 personnes. Pas de victime, mais cet accident soulève la question de la sécurité.
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Un bateau, type coque aluminium, s’est retourné dans la matinée de dimanche 2 septembre 2018, aux alentours de 10h30, entre le quai de Halalo et l’îlot de Saint Christophe, avec à son bord 9 personnes, 8 jeunes femmes essentiellement et un homme d’une quarantaine d’années, propriétaire du bateau.
Seteni Tuauli, le pêcheur qui est arrivé en premier à la rescousse, raconte :
Avec ses fils, à bord de leur bateau ils ont dépassé l’embarcation en question. Seteni et ses fils qui se rendaient sur l’îlot Nukuatea pour ramasser des noix de cocos sont alors déjà un peu surpris, quand ils voient le bateau, ils constatent tout de suite une surcharge.
Seteni et ses fils approchent de l’îlot Nukuatea, machinalement il se retourne et ne voit plus le bateau qui était derrière. Il demande à ses fils, et là, effectivement de loin ils voient des têtes dans l’eau.
Tout de suite, Seteni fait demi-tour, au fur à mesure qu’ils approchent, ils constatent que le bateau s’est retourné et que toutes les personnes à bord sont dans l’eau.
Une mer assez agitée:
Arrivés à leur niveau, leur premier réflexe et de secourir les deux filles un peu loin de la coque du bateau,
Car selon Seteni, l’une d’entre elles était carrément à bout de souffle. Les 6 autres aussi sont paniquées, certaines d’entre elles en larmes dans la mer. Le pêcheur témoigne que même une fois dans son bateau, les filles étaient encore en panique il aura fallu les calmer un peu. Seteni Tuauli et ses fils ont secouru les 9 personnes qui étaient à bord du bateau.Toutes saines et sauves, fort heureusement. Ils ont ensuite retourné le bateau et l’ont remorqué jusqu’au wharf de Halalo à Wallis.
Le bateau des gendarmes, prévenus tardivement, n’est arrivé lui que deux heures après cette opération de sauvetage en mer.
Selon les témoins, cet accident est sans aucun doute dû à une surcharge du bateau, et c’est sans compter une mer houleuse et un vent soutenu.
es jeunes filles en question avaient commandé ce bateau pour une sortie à l’îlot Saint Christophe, entre collègues de travail.
Pas de victime cette fois-ci, mais cet accident soulève bien des questions, notamment sur les normes de sécurité à respecter quand on transporte des passagers en mer, ou encore sur le dispositif de sécurité.
Seteni Tuauli, le pêcheur qui est arrivé en premier à la rescousse, raconte :
Avec ses fils, à bord de leur bateau ils ont dépassé l’embarcation en question. Seteni et ses fils qui se rendaient sur l’îlot Nukuatea pour ramasser des noix de cocos sont alors déjà un peu surpris, quand ils voient le bateau, ils constatent tout de suite une surcharge.
Seteni et ses fils approchent de l’îlot Nukuatea, machinalement il se retourne et ne voit plus le bateau qui était derrière. Il demande à ses fils, et là, effectivement de loin ils voient des têtes dans l’eau.
Tout de suite, Seteni fait demi-tour, au fur à mesure qu’ils approchent, ils constatent que le bateau s’est retourné et que toutes les personnes à bord sont dans l’eau.
Une mer assez agitée:
Arrivés à leur niveau, leur premier réflexe et de secourir les deux filles un peu loin de la coque du bateau,
Car selon Seteni, l’une d’entre elles était carrément à bout de souffle. Les 6 autres aussi sont paniquées, certaines d’entre elles en larmes dans la mer. Le pêcheur témoigne que même une fois dans son bateau, les filles étaient encore en panique il aura fallu les calmer un peu. Seteni Tuauli et ses fils ont secouru les 9 personnes qui étaient à bord du bateau.Toutes saines et sauves, fort heureusement. Ils ont ensuite retourné le bateau et l’ont remorqué jusqu’au wharf de Halalo à Wallis.
Le bateau des gendarmes, prévenus tardivement, n’est arrivé lui que deux heures après cette opération de sauvetage en mer.
Selon les témoins, cet accident est sans aucun doute dû à une surcharge du bateau, et c’est sans compter une mer houleuse et un vent soutenu.
es jeunes filles en question avaient commandé ce bateau pour une sortie à l’îlot Saint Christophe, entre collègues de travail.
Pas de victime cette fois-ci, mais cet accident soulève bien des questions, notamment sur les normes de sécurité à respecter quand on transporte des passagers en mer, ou encore sur le dispositif de sécurité.