L'organisme WWF envoie des spécialistes pour partager leur expérience sur la protection des forêts. Un travail de reboisement est mené en Nouvelle-Calédonie. Il permet en même temps de mener une étude sur les atouts d'une forêt en bonne santé. L'action permet aux pays de la région de s'entraider.
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Première halte à l’ombre des pinus de Lokà, dans le district de HIHIFO. Cette variété de pin plantée il y a une vingtaine d’année pour lutter contre l’érosion des sols. Depuis, la nature a repris ses droits : une surprise pour Hubert GEREAUX, responsable WWF en Nouvelle-Calédonie. « Contrairement à la Nouvelle-Calédonie, il y a une résurgence des variétés issues de la forêt native de Wallis dans le sous-bois ». Les oiseaux et les roussettes ne se nourrissent pas uniquement de pinus, mais aussi de variétés locales, ce qui favorise leur croissance.
Refléchir ensemble à des projets pour la protection des forêts, c’est l’objectif de la mission du WWF sur le territoire. Une aubaine pour le service territorial de l’agriculture qui a mis en place le projet BEST en mars 2017, pour « gestion durable des forêts de Wallis ». Marie MONROLIN, technicienne de la forêt parle de reboiser la forêt dense du fenua car elle a perdu plus de la moitié de sa densité en 10 ans. En plus des bienfaits de la forêt sur la qualité de l’eau et des sols, c’est aussi un patrimoine culturel à préserver selon Denis MEANDU-POVEU, botaniste issu de la tribu GOHAPIN en Province Nord. « On retrouve à wallis, certains arbres que l’on ne retrouvera pas ailleurs(…) il faut les préserver » car ces espèces sont encore très présente dans la médecine traditionnelle. Jeudi, la mission continue sur l’île de Futuna, qui contrairement à Wallis a réussi à conserver sa forêt vierge.
Refléchir ensemble à des projets pour la protection des forêts, c’est l’objectif de la mission du WWF sur le territoire. Une aubaine pour le service territorial de l’agriculture qui a mis en place le projet BEST en mars 2017, pour « gestion durable des forêts de Wallis ». Marie MONROLIN, technicienne de la forêt parle de reboiser la forêt dense du fenua car elle a perdu plus de la moitié de sa densité en 10 ans. En plus des bienfaits de la forêt sur la qualité de l’eau et des sols, c’est aussi un patrimoine culturel à préserver selon Denis MEANDU-POVEU, botaniste issu de la tribu GOHAPIN en Province Nord. « On retrouve à wallis, certains arbres que l’on ne retrouvera pas ailleurs(…) il faut les préserver » car ces espèces sont encore très présente dans la médecine traditionnelle. Jeudi, la mission continue sur l’île de Futuna, qui contrairement à Wallis a réussi à conserver sa forêt vierge.