Un exercice d'intrusion organisé ce matin au collège Lise Ophion à Matoury dans l'établissement a mal tourné. II était sensé prévenir une attaque terroriste mais les élèves n'étaient pas au courant, ils ont cru à une vraie attaque et beaucoup ont paniqué.
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Il s'agissait d'un exercice dans le cadre du Plan Particulier de Mise en sûreté. L’établissement, primaire, secondaire, n’importe lequel, doit s’organiser pour faire face à un risque majeur qui n'est pas forcément un attentat. Dans l’année, les établissements volontaires devront faire face à des risques naturels, des risques technologiques, ici en Guyane, cela peut être la rupture du barrage de Petit-Saut. Mais pour le premier exercice, l’Education Nationale a demandé aux établissements de se préparer à l’intrusion avant les vacances de la Toussaint. Il y a déjà eu 4 exercices cette semaine.
Au collège Lise Ophion à Matoury, l'exercice a mal tourné et les enfants comme une partie du personnel ont cédé à la panique. Certains ont été blessés et choqués.
Le rectorat doit se rapprocher du principal pour savoir s'il y a eu des manquements ou des dysfonctionnements dans l'organisation de cet exercice obligatoire dans les établissements scolaires depuis les attentats de 2015.
Thierry Vertueux, père d'une collégienne témoigne :
Au collège Lise Ophion à Matoury, l'exercice a mal tourné et les enfants comme une partie du personnel ont cédé à la panique. Certains ont été blessés et choqués.
Le rectorat doit se rapprocher du principal pour savoir s'il y a eu des manquements ou des dysfonctionnements dans l'organisation de cet exercice obligatoire dans les établissements scolaires depuis les attentats de 2015.
Thierry Vertueux, père d'une collégienne témoigne :