Le nombre d’intoxications provoquées par le poisson-lion en Martinique est en augmentation. Les services de santé appellent à une prise de conscience de ce phénomène.
Les piqûres de poisson-lion deviennent un problème de santé publique en Martinique. Le dispositif de toxicovigilance aux Antilles le montre dans une étude parue récemment. Ce dispositif se met en place depuis novembre 2014 et le centre coordonateur est situé en Guadeloupe mais une antenne Martinique doit voir le jour ces prochains mois.
Les travaux sur le terrain, ont cependant déjà commencé. Une étude a été menée sur les intoxications provoquées par le poisson-lion. Des questionnaires ont été remplis par des professionnels de la santé, de la médecine d’urgence et de la mer. Ce poisson introduit accidentellement dans nos eaux dans les années 90, au départ de la Floride, se révèle être un danger potentiel pour toutes les activités qui concernent l’exploitation du milieu marin.
117 : c’est le nombre de personnes qui ont été victimes, sur la période d'étude, d’une intoxication liée à une piqûre de poisson-lion. Il y a en tout 98 hommes et 19 femmes d’un âge moyen de 42 ans. Cette courbe est allée crescendo. En l’espace d’une année d’observation, des cas ont triplé.
Les premières victimes de ces piqûres sont sans surprise, les usagers réguliers de la mer. En tête on retrouve les plongeurs amateurs ou professionnels (44 %), les marins-pêcheurs (33%) et un peu plus loin les baigneurs (21 %). Les zones dans lesquelles ils ont été piqués sont situées là ou l’on retrouve le plus cette rascasse-volante : le sud caraïbes, le centre et aussi beaucoup le nord caraïbe. Le poisson-lion apprécie en effet les environnements rocailleux.
La piqûre de la rascasse-volante s’est traduite pour la majorité des victimes, par une forte douleur, des œdèmes , l’apparition de cloques. Ces symptômes étaient couplés souvent à des maux de ventre, de l’hypertension ou des crampes. Certains patients ont été victimes de complications mais sans gravité.
Un dispositif de prise en charge par les professionnels de santé a été élaboré mais à votre niveau vous pouvez combattre la piqûre en plongeant la partie endolorie dans de l’eau très chaude pour neutraliser le venin. Les spécialistes estiment qu’il est aujourd’hui utile de renforcer l’information du public et pour éradiquer la menace, ils préconisent la commercialisation du poisson et sa consommation.
Les travaux sur le terrain, ont cependant déjà commencé. Une étude a été menée sur les intoxications provoquées par le poisson-lion. Des questionnaires ont été remplis par des professionnels de la santé, de la médecine d’urgence et de la mer. Ce poisson introduit accidentellement dans nos eaux dans les années 90, au départ de la Floride, se révèle être un danger potentiel pour toutes les activités qui concernent l’exploitation du milieu marin.
Les professionnels de la mer les plus touchés
117 : c’est le nombre de personnes qui ont été victimes, sur la période d'étude, d’une intoxication liée à une piqûre de poisson-lion. Il y a en tout 98 hommes et 19 femmes d’un âge moyen de 42 ans. Cette courbe est allée crescendo. En l’espace d’une année d’observation, des cas ont triplé.Les premières victimes de ces piqûres sont sans surprise, les usagers réguliers de la mer. En tête on retrouve les plongeurs amateurs ou professionnels (44 %), les marins-pêcheurs (33%) et un peu plus loin les baigneurs (21 %). Les zones dans lesquelles ils ont été piqués sont situées là ou l’on retrouve le plus cette rascasse-volante : le sud caraïbes, le centre et aussi beaucoup le nord caraïbe. Le poisson-lion apprécie en effet les environnements rocailleux.
Aucun décès provoqué par le poisson-lion
La piqûre de la rascasse-volante s’est traduite pour la majorité des victimes, par une forte douleur, des œdèmes , l’apparition de cloques. Ces symptômes étaient couplés souvent à des maux de ventre, de l’hypertension ou des crampes. Certains patients ont été victimes de complications mais sans gravité.Un dispositif de prise en charge par les professionnels de santé a été élaboré mais à votre niveau vous pouvez combattre la piqûre en plongeant la partie endolorie dans de l’eau très chaude pour neutraliser le venin. Les spécialistes estiment qu’il est aujourd’hui utile de renforcer l’information du public et pour éradiquer la menace, ils préconisent la commercialisation du poisson et sa consommation.