Le Pays avait jusqu'au 8 octobre pour se prononcer, mais la réponse se fait toujours attendre. "Rien n'empêche le Pays de dépasser la date d'échéance pour mieux saisir sa position", défend Jean-Christophe Bouissou, porte-parole du gouvernement.
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En juin dernier, la société Viti a déposé un dossier auprès de la direction générale de l’Economie numérique (DGEN), souhaitant ainsi obtenir l’autorisation d’activités de téléphonie mobile. L'autorité de la concurrence avait alors transmis, au début du mois d'octobre, un avis recommandant l'ouverture du marché de la téléphonie et d'Internet.
Le gouvernement avait jusqu'au 8 octobre pour se prononcer. La société Viti, dirigée par Bernard Foray, a depuis mis l’affaire au tribunal pour avoir une réponse du Pays mais la réponse se fait toujours attendre.
Si Viti dénonce une décision politique du gouvernement afin de protéger l'OPT, Jean-Christophe Bouissou, le conteste formellement. "Nous avons besoin d'obtenir d'ultimes informations de la part de certains opérateurs (...) pour bien apprécier les conséquences ou pas de l'ouverture de ces opérateurs dans ces domaines d'activités", estime le porte-parole du gouvernement.
Le gouvernement avait jusqu'au 8 octobre pour se prononcer. La société Viti, dirigée par Bernard Foray, a depuis mis l’affaire au tribunal pour avoir une réponse du Pays mais la réponse se fait toujours attendre.
Si Viti dénonce une décision politique du gouvernement afin de protéger l'OPT, Jean-Christophe Bouissou, le conteste formellement. "Nous avons besoin d'obtenir d'ultimes informations de la part de certains opérateurs (...) pour bien apprécier les conséquences ou pas de l'ouverture de ces opérateurs dans ces domaines d'activités", estime le porte-parole du gouvernement.
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