« Une panne moteur se déclare à bord de l’Aranui V en début de croisière pour les Marquises » : tel est le mauvais scénario imaginé pour le plan ORSEC maritime.
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L’opération à nécessité l’intervention de l’hélicoptère Dauphin et du remorqueur Maroa de la marine. Obligatoire pour le navire, elle permet de vérifier les différentes procédures d’urgence dans pareille situation. L’hélitreuillage est difficile et il faut toute la dextérité du pilote et le professionnalisme des équipes pour le réussir. En mer mais aussi à terre c’est toute la chaine de secours qui est mise en œuvre. Benjamin Potié, du bureau de l’action de l’Etat en mer :
Présent à bord, l’inspecteur principal des affaires maritime il a pu valider les liaisons, les communications et les opérations d’urgence. Une obligation pour être conforme au code international de sauvetage en mer.
Présent à bord, l’inspecteur principal des affaires maritime il a pu valider les liaisons, les communications et les opérations d’urgence. Une obligation pour être conforme au code international de sauvetage en mer.