A Belfort, le 35ième régiment d'infanterie compte pas moins de 1200 militaires. Parmi eux des Océaniens originaires de Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna et bien sûr la Polynésie française. Rencontre.
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La ville de Belfort n'imagine pas son avenir sans eux. On les surnomme les "gaillards"... Les 1200 militaires du 35ième régiment d'infanterie viennent de tout les horizons, certains même des archipels les plus éloignés de la Métropole.
Dans l'Océanie, les jeunes Polynésiens, Wallisiens ou Calédoniens apprennent le métier des armes mais découvrent aussi et surtout un environnement civil complètement différent du leur. Un vrai choc culturel. Une équipe de journalistes a suivi cette semaine ces hommes du Pacifique, ces soldats du bout du monde.
Parmi eux : le caporal Marcelino, originaire de Polynésie française, le caporal-chef Jean, originaire de Nouvelle-Calédonie, le caporal Maxime, originaire de Wallis-et-Futuna, le soldat Raphaël, originaire de Polynésie française, et ses deux confrères le soldat Samuel et Utia.
Dans l'Océanie, les jeunes Polynésiens, Wallisiens ou Calédoniens apprennent le métier des armes mais découvrent aussi et surtout un environnement civil complètement différent du leur. Un vrai choc culturel. Une équipe de journalistes a suivi cette semaine ces hommes du Pacifique, ces soldats du bout du monde.
Parmi eux : le caporal Marcelino, originaire de Polynésie française, le caporal-chef Jean, originaire de Nouvelle-Calédonie, le caporal Maxime, originaire de Wallis-et-Futuna, le soldat Raphaël, originaire de Polynésie française, et ses deux confrères le soldat Samuel et Utia.