La société américaine, via ses représentants au fenua, avait en 2013 vendue des produits et un service de téléphonie mobile gratuit, puis avait subitement cessé ses activités.
6 000 polynésiens ont acheté un kit à 35 000F le pack.
Condamnés au tribunal de 1ère instance, le tribunal avait requis des peines de prison et des amendes entre 2 et 8 millions de Fcfp pour les 5 prévenus.
Ce matin, la cour d’appel a rejeté les accusations d’escroquerie et réduit les amendes.
Une satisfaction pour Me Brice Dumas, l’avocat de deux des 5 prévenus.
On l’écoute au micro de Gilles Tautu :
Toutes les peines de prison avec sursis ont donc été annulées et les quatre autres peines d’amende ont été abaissées à 500 000 Fcfp.
Les accusations d’escroquerie ont volé en éclat.
Selon les avocats des cinq prévenus, leurs clients ont été de bonne foi et se sont eux-mêmes fait berner par la maison mère américaine.
Des démarches officielles d'autorisations diverses avaient été engagées auprès des autorités polynésiennes, analysées par la défense comme une volonté de transparence.