Le texte est entré en vigueur il y a un an : la baisse des droits de douane et de la TVA sur les véhicules importés commence à porter ses fruits. Pour preuve, les ventes de vélos ont explosé. Conséquence : les Polynésiens se mettent plus facilement en selle.
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Des vélos, comme s’il en pleuvait... Ils arrivent par containers entiers depuis plusieurs mois et leurs prix ne cessent de baisser. C'est le résultat de la baisse des droits de douane et de la TVA sur les véhicules importés, en vigueur depuis un an.
"Dès qu'on les reçoit, on prévient les clients", explique Georges Foster, vendeur.
Les prix auraient baissé d’environ 25 à 30% grâce à cette mesure fiscale que les commerçants affirment avoir répercutée.
Cette impression est généralisée chez les principaux vendeurs de bicyclettes du fenua. Et, ces derniers jouent le jeu. "On a appliqué les mêmes tarifs qu'en Amérique, on ne prend pas de marge", explique William Yazot, vendeur de vélos.
Tiare Yazot, responsable de magasin, estime que cette baisse incite aussi la population à bouger. Les prix étant plus abordables, les Polynésiens se lancent donc plus dans le sport.
Joël Raymond est un ancien cycliste professionnel. L'homme répare et vend ses joujoux préférés. Le constat est clair : tout le monde s’y retrouve, y compris le gouvernement.
Le son de cloche n'est pas le même pour tout le monde. Certains, notamment les jeunes, privilégient encore internet. Pour Torea, jeune cycliste, les prix sont toujours plus bas qu'en magasin.
En attendant, avec ou sans internet, à Tahiti, la petite reine a la côte...
Retrouvez le reportage dans nos journaux télévisés de ce mercredi 11 janvier sur Polynésie 1ère
Les vélos se vendent comme des petits pains
"Dès qu'on les reçoit, on prévient les clients", explique Georges Foster, vendeur.
Les prix auraient baissé d’environ 25 à 30% grâce à cette mesure fiscale que les commerçants affirment avoir répercutée.
Cette impression est généralisée chez les principaux vendeurs de bicyclettes du fenua. Et, ces derniers jouent le jeu. "On a appliqué les mêmes tarifs qu'en Amérique, on ne prend pas de marge", explique William Yazot, vendeur de vélos.
Tiare Yazot, responsable de magasin, estime que cette baisse incite aussi la population à bouger. Les prix étant plus abordables, les Polynésiens se lancent donc plus dans le sport.
Joël Raymond est un ancien cycliste professionnel. L'homme répare et vend ses joujoux préférés. Le constat est clair : tout le monde s’y retrouve, y compris le gouvernement.
Le son de cloche n'est pas le même pour tout le monde. Certains, notamment les jeunes, privilégient encore internet. Pour Torea, jeune cycliste, les prix sont toujours plus bas qu'en magasin.
En attendant, avec ou sans internet, à Tahiti, la petite reine a la côte...
Retrouvez le reportage dans nos journaux télévisés de ce mercredi 11 janvier sur Polynésie 1ère