L’ancien président Ahmed Abdallah Sambi est reconnu coupable de « haute trahison », il est condamné à la prison à perpétuité et à la confiscation de tous ses biens au profit du Trésor Public.
Son ancien vice-président Mohamed Ali Soihili – alias Mamadou – est pour sa part condamné à 20 ans de prison, un mandat d’arrêt international est lancé à son encontre.
L’homme d’affaires franco-syrien Bachar Kiwan est condamné à 10 ans de réclusion, un mandat d’arrêt international est également délivré.
Les anciens ministres Bacar Dossar et Nouredine Bourhane écopent de deux ans assortis du sursis.
Les condamnations prononcées par cette cour sont définitives, elles ne permettent aucun recours.