De nombreuses personnalités politiques et scientifiques sont dans notre département pour la conférence internationale sur la biodiversité et le changement climatique. Ils définiront ensemble les objectifs à atteindre dans ces domaines, d’ici 2020.
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La conférence est organisée à l’initiative de la France, des Iles Vierges Britanniques, de l’Association des pays et territoires d’Outre- mer (OCTA), de la Région Guadeloupe, du Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique (CDB), de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), et la Commission européenne. Elle succède à la rencontre de 2008 organisée à la Réunion.
Du mercredi 22 au samedi 25 octobre, les acteurs de cette « sphère » politique et scientifique attachée aux questions environnementales, travailleront en deux temps.
Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie et George Pau- Langevin, ministre des Outremers représenteront la France lors de cette édition.
Les RUP et PTOM abritent une biodiversité exceptionnelle.
Cette richesse est aujourd’hui gravement fragilisée, notamment à cause du réchauffement climatique.
Selon la liste de l’UICN, la France occupe est au sixième rang mondial pour le nombre d’espèces menacées. Ces espèces se trouvent en priorité dans les Outremers.
L’enjeu est de renforcer la dynamique en faveur de ces zones et de mobiliser l’Union européenne pour définir de nouvelles priorités stratégiques et agir concrètement en faveur de la biodiversité marine.
Après de « message de la Réunion », en 2008, il s’agira donc de déterminer le « message de la Guadeloupe » en se basant sur les échanges conduits entre experts. Des travaux qui enrichiront la conférence environnementale, un an avant la Conférence Paris- Climat de 2015.
Du mercredi 22 au samedi 25 octobre, les acteurs de cette « sphère » politique et scientifique attachée aux questions environnementales, travailleront en deux temps.
Deux journées thématiques les 22 et 23 octobre, faisant la part belle aux experts scientifiques, sur cinq thèmes de travail :
- améliorer la résilience,
- stopper la perte de biodiversité,
- favoriser l’économie verte et bleue,
- améliorer la connaissance,
- mobiliser de nouvelles sources de financements.
Un volet d’échanges et d’accords politiques le 24 octobre :
L’objectif de ce « segment » politique est de définir les engagements des parties et dresser une nouvelle feuille de route de 2015 à 2020, pour la biodiversité et les changements climatiques dans les Régions Ultrapériphériques (RUP) et les Pays et Territoire d’Outre- mer (PTOM).Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie et George Pau- Langevin, ministre des Outremers représenteront la France lors de cette édition.
En Guadeloupe du 23 au 26 oct. dans le cadre de la conférence internationale #biodiversité 2014. Programme ici : http://t.co/ApxxNdHd90
— Ségolène Royal (@RoyalSegolene) 23 Octobre 2014
Les enjeux de la conférence
Les RUP et PTOM abritent une biodiversité exceptionnelle.Cette richesse est aujourd’hui gravement fragilisée, notamment à cause du réchauffement climatique.
Selon la liste de l’UICN, la France occupe est au sixième rang mondial pour le nombre d’espèces menacées. Ces espèces se trouvent en priorité dans les Outremers.
L’enjeu est de renforcer la dynamique en faveur de ces zones et de mobiliser l’Union européenne pour définir de nouvelles priorités stratégiques et agir concrètement en faveur de la biodiversité marine.
Après de « message de la Réunion », en 2008, il s’agira donc de déterminer le « message de la Guadeloupe » en se basant sur les échanges conduits entre experts. Des travaux qui enrichiront la conférence environnementale, un an avant la Conférence Paris- Climat de 2015.