Les négociations annuelles obligatoires (NAO) ont repris ce matin..Mais elles ont été interrompues à nouveau à cause de désaccords... Le point qui bloque : l'augmentation des salaires de l'ensemble du personnel...
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Après 4 heures de discussions animées, d'interruptions de séance, les deux parties se sont quittées sans accord.
Le point de discorde repose sur l'augmentation des salaires de l'ensemble du personnel.
Dans un premier temps, les salariés de l'intersyndicale UGTG/CGTG demandaient une hausse de 60 euros. Au fil des négociations, ils étaient descendus à 45 euros, puis 40. Or, de l'autre côté, la Direction, elle, souhaite négocier au pourcentage et propose donc 0,8% d'augmentation. Inimaginable pour les syndicats, qui ne souhaitent pas revenir sur la méthode de calcul et campent sur leur position.
Pourtant, les négociations annuelles obligatoires avaient été bien entamées. Direction et syndicats sont déjà tombés d'accord sur de nombreux points de la plateforme de revendications : l'augmentation du ticket-restaurant de 1 euro, la hausse de la prime de transport de 10 euros, par exemple...
Depuis le 13 février dernier, c'est sur le mode de calcul de l'augmentation des salaires qu'il y a mésentente.
Syndicats et dirigeants des usines devraient se retrouver mercredi, pour une 7ème réunion de négociation. Les salariés ont déjà annoncé que la récolte ne commencera pas le lundi 23 comme prévu... La coupe de la canne donc, repoussée... Jusqu'à quand ? L'avenir le dira... En attendant, le feuilleton continue...
Pourcentage ou euros ?
Le point de discorde repose sur l'augmentation des salaires de l'ensemble du personnel.
Dans un premier temps, les salariés de l'intersyndicale UGTG/CGTG demandaient une hausse de 60 euros. Au fil des négociations, ils étaient descendus à 45 euros, puis 40. Or, de l'autre côté, la Direction, elle, souhaite négocier au pourcentage et propose donc 0,8% d'augmentation. Inimaginable pour les syndicats, qui ne souhaitent pas revenir sur la méthode de calcul et campent sur leur position.
Réunion de la dernière chance, mercredi
Pourtant, les négociations annuelles obligatoires avaient été bien entamées. Direction et syndicats sont déjà tombés d'accord sur de nombreux points de la plateforme de revendications : l'augmentation du ticket-restaurant de 1 euro, la hausse de la prime de transport de 10 euros, par exemple...
Depuis le 13 février dernier, c'est sur le mode de calcul de l'augmentation des salaires qu'il y a mésentente.
Syndicats et dirigeants des usines devraient se retrouver mercredi, pour une 7ème réunion de négociation. Les salariés ont déjà annoncé que la récolte ne commencera pas le lundi 23 comme prévu... La coupe de la canne donc, repoussée... Jusqu'à quand ? L'avenir le dira... En attendant, le feuilleton continue...