Les algues sargasses continuent de faire l'actualité. Vendredi dernier les élus régionaux ont voté une motion pour demander à l'Etat de déclarer notre région en état de catastrophe naturelle; ce n'est pas une première, l'Association des maires l'avait précédé en la matière
On se souvient de la menace de Marlène Miraculeux-Bourgeois menaçant de se hisser au sommet d'une grue et n'en descendrait que si une réponse était donnée à Capesterre de Marie-Galante. Elle avait été suivie en cela par le maire de Terre de Bas, Emmanuel Duval qui lui se disait prêt à observer une grève de la faim si aucune solution n'était trouvée pour sa commune. Le maire de la Désirade, Jean-Claude Pioche leur avait emboîté le pas.
Dérisoires réactions pour tenter d'exprimer une impuissance face à un phénomène qui dépasse toutes les autorités. L'Association des maires elle-même avait lancé un appel vers l'Etat.
Vendredi, la motion des Conseillers Régionaux est allée dans ce sens, demandant à l'Etat le placement de la Guadeloupe en état de catastrophe naturelle.
Mais une telle déclaration ne peut se faire que selon ce que disent les textes. Et en la matière, le balisage réglementaire est précis :
L'analyse d'Eric Stimpfling :
Dérisoires réactions pour tenter d'exprimer une impuissance face à un phénomène qui dépasse toutes les autorités. L'Association des maires elle-même avait lancé un appel vers l'Etat.
Vendredi, la motion des Conseillers Régionaux est allée dans ce sens, demandant à l'Etat le placement de la Guadeloupe en état de catastrophe naturelle.
Mais une telle déclaration ne peut se faire que selon ce que disent les textes. Et en la matière, le balisage réglementaire est précis :
L'analyse d'Eric Stimpfling :