La SARA veut changer son image. Certes, elle portera toujours ce nom qui détermine son objectif premier : « Raffiner les produits pétroliers pour les Antilles et la Guyane » mais désormais, elle veut aussi s’investir dans les énergies renouvelables.
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En se présentant sous ce nouveau visage, la SARA se met tout simplement à l’air du temps. Elle amorce un virage qui peut lui éviter toute concurrence en ces domaines dans l’avenir, ou en tout cas, pour être compétitive en la matière.
Parallèlement, elle répond aux exigence du ministère de l’écologie qui veut inciter les uns et les autres à adopter des démarches résolument tournées vers les énergies nouvelles.
Les axes de ces nouvelles orientations sont autant destinés à répondre aux besoins propres de la raffinerie (Production d’eau industrielle par le dessalement de l’eau de mer ; installation d’n système de récupération du soufre qui doit aussi permettre de faire descendre le taux d’émission de Dioxyde de soufre en produisant de l’électricité) que de la lancer dans la production d’énergies renouvelables (Lancement de fermes solaires, production d’électricité en utilisant le dihydrogène produit par la SARA, investissement dans des fermes bio en Guyane et aussi, lutte contre les sargasses.)
Et les projets de fermes photovoltaïques concernent particulièrement la Guadeloupe qui devrait accueillir deux d'entre elles, à Vieux-Habitants, et à Baillif, sur le site de l'ancienne décharge.
Autant d’objectifs qui devraient contribuer à changer l’image de cette société, trop souvent symbolisée par ses panaches de fumées. Leur réalisation correspond d’ailleurs à la nouvelle orientation de la gouvernance de l’entreprise où, après la prédominance du groupe TOTAL, se trouve désormais dirigée par le groupe RUBIS
Voir aussi l'entretien accordé par Philippe Guy à Guadeloupe 1ère
Parallèlement, elle répond aux exigence du ministère de l’écologie qui veut inciter les uns et les autres à adopter des démarches résolument tournées vers les énergies nouvelles.
Les axes de ces nouvelles orientations sont autant destinés à répondre aux besoins propres de la raffinerie (Production d’eau industrielle par le dessalement de l’eau de mer ; installation d’n système de récupération du soufre qui doit aussi permettre de faire descendre le taux d’émission de Dioxyde de soufre en produisant de l’électricité) que de la lancer dans la production d’énergies renouvelables (Lancement de fermes solaires, production d’électricité en utilisant le dihydrogène produit par la SARA, investissement dans des fermes bio en Guyane et aussi, lutte contre les sargasses.)
Et les projets de fermes photovoltaïques concernent particulièrement la Guadeloupe qui devrait accueillir deux d'entre elles, à Vieux-Habitants, et à Baillif, sur le site de l'ancienne décharge.
Autant d’objectifs qui devraient contribuer à changer l’image de cette société, trop souvent symbolisée par ses panaches de fumées. Leur réalisation correspond d’ailleurs à la nouvelle orientation de la gouvernance de l’entreprise où, après la prédominance du groupe TOTAL, se trouve désormais dirigée par le groupe RUBIS
Voir aussi l'entretien accordé par Philippe Guy à Guadeloupe 1ère