Une enquête est en cours sur les causes du drame survenu dans une résidence du Moule. Deux enfants de 3 et 5 ans sont tombés d'un balcon situé au deuxième étage d'un immeuble d'habitation récent. Les enfants souffrent de multiples fractures. Un élément de la balustrade pourrait être en cause.
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Une enquête est en cours pour déterminer les causes de l'accident qui s'est produit ce samedi après midi, à la Résidence Jean Justine à Morne Sergent, Le Moule. Un garçonnet de 3 ans et une fillette de 4 ans sont tombés de la terrasse de l'appartement de leurs parents, situé au deuxième étage d'un immeuble de la SEMSAMAR. La plaque métallique de la balustrade a cédé et entraîné les enfants dans le vide. Médicalisés sur place par le SAMU avant d'être héliportés vers le CHU de Pointe-à-Pitre, les enfants étaient conscients mais ils souffrent de fractures multiples aux bras, aux jambes et au bassin notamment. Leur pronostic vital n'est plus engagé.
Les experts de l'opérateur d'aménagement sont intervenus très vite afin d'identifier les causes et responsabilités éventuelles. Parents, voisins et représentants du bailleur social, la SEMSAMAR, étaient sur place. L'élément de la balustrade qui a cédé a été replacé et renforcé. La même intervention devrait avoir lieu sur la quarantaine de balcons de ces résidences du Moule dans l'attente d'expertise et afin de prévenir tout nouvel accident.
Pratiquement tous les résidents adultes et enfants ayant été témoins de ce drame, l'opérateur d'aménagement va mettre en place une cellule psychologique dès lundi. Il a également proposé aux parents des jeunes victimes de les héberger provisoirement à Pointe-à-Pitre afin de les rapprocher du CHU.
à voir aussi sur le sujet le reportage d'Ori Menel et Rémi Defrance
Les experts de l'opérateur d'aménagement sont intervenus très vite afin d'identifier les causes et responsabilités éventuelles. Parents, voisins et représentants du bailleur social, la SEMSAMAR, étaient sur place. L'élément de la balustrade qui a cédé a été replacé et renforcé. La même intervention devrait avoir lieu sur la quarantaine de balcons de ces résidences du Moule dans l'attente d'expertise et afin de prévenir tout nouvel accident.
Pratiquement tous les résidents adultes et enfants ayant été témoins de ce drame, l'opérateur d'aménagement va mettre en place une cellule psychologique dès lundi. Il a également proposé aux parents des jeunes victimes de les héberger provisoirement à Pointe-à-Pitre afin de les rapprocher du CHU.
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