La CCI des Îles de Guadeloupe et l'ADEME, ont publié le premier baromètre environnemental de la Guadeloupe. Une étude qui s'est focalisée sur 430 entreprises de plusieurs secteurs représentatifs du tissu économique. Cet engagement de développement durable des entreprises de Guadeloupe reste timide.
La chambre de commerce et d'industrie des îles de Guadeloupe et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) ce sont alliées pour mener à bien cette étude économique, indispensable. Il s'agit d'avoir une vision de l'engagement des chefs d'entreprises guadeloupéens sur la protection de l'environnement et les mesures prises pour mettre leur entreprise en conformité.
L'absence de ressources financières, le manque de moyens humains ou, tout simplement, le manque de temps, freinent les entreprises de l'archipel dans la mise en place de vraies politiques managériales de promotion du développement durable. Pourtant, au-delà des obligations légales, des mesures adaptées en faveur de la réduction des effets polluants des entreprises ont des impacts sur la réduction des coûts. Elle est favorisée. C'est la réponse de plus d'un chef d'entreprise sur deux en Guadeloupe. Ces réductions de coûts sont plus marquées dans les entreprises de services et de commerces.
Pour les entreprises qui s'engagent dans cette voie, des mesures concrètes ont été prises, en dehors de la réduction des déchets. Pour atteindre une performance énergétique optimum, ces structures n'hésitent pas à investir dans du matériel plus performant, voire à renégocier leur contrat d'abonnement avec les fournisseurs d'énergie. Des actions d'informations sont aussi distillées en direction de leur personnel.
Un premier baromètre qui permet de prendre le pouls des chefs d'entreprises sur cette question épineuse. Des problématiques qui rentrent dans le cadre du SAR, le schéma d'aménagement régional.
L'absence de ressources financières, le manque de moyens humains ou, tout simplement, le manque de temps, freinent les entreprises de l'archipel dans la mise en place de vraies politiques managériales de promotion du développement durable. Pourtant, au-delà des obligations légales, des mesures adaptées en faveur de la réduction des effets polluants des entreprises ont des impacts sur la réduction des coûts. Elle est favorisée. C'est la réponse de plus d'un chef d'entreprise sur deux en Guadeloupe. Ces réductions de coûts sont plus marquées dans les entreprises de services et de commerces.
Pour les entreprises qui s'engagent dans cette voie, des mesures concrètes ont été prises, en dehors de la réduction des déchets. Pour atteindre une performance énergétique optimum, ces structures n'hésitent pas à investir dans du matériel plus performant, voire à renégocier leur contrat d'abonnement avec les fournisseurs d'énergie. Des actions d'informations sont aussi distillées en direction de leur personnel.
Un premier baromètre qui permet de prendre le pouls des chefs d'entreprises sur cette question épineuse. Des problématiques qui rentrent dans le cadre du SAR, le schéma d'aménagement régional.