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Ils étaient nombreux à être venus soutenir le leader de la CGTG cité à comparaître après la plainte du gérant de la plantation Bois Debout. Il s'agissaient pour tous de défendre l'action syndicale qu'ils estiment menacée en Guadeloupe.
C'est aussi pour cela que Jean-Marie Nomertin souhaitait la présence, dans la salle d'audience, de tous les militants qui l'accompagnaient.
Une volonté à laquelle le juge n'a pas voulu accéder. Il s'y est clairement opposé et a choisi de reporter l'affaire sous quinzaine.