Dans le ciel Européen, la compagnie poursuit sa progression et se porte plutôt bien. L’an dernier, elle a vue son trafic ainsi que son chiffre d’affaire connaître une augmentation d’un peu plus de 11%. Une croissance, qui lui permet aujourd’hui de recruter, mais de façon ciblée.
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Comment y parvient-elle ? La question s’impose à propos d’Air Caraïbe qui, avec Air France, est aujourd’hui l’une des compagnies les plus viables de France.
Et pourtant au vu des déconvenues d’Aigle Azur et d’XL Airways, le contexte ne semble guère favorable.
Bénéficiaire tous les ans, le transporteur explique son succès par une gestion attentive et rigoureuse. Tout y est raisonné, indique-t-il : Du renforcement de sa flotte à sa politique de croissance. Pour rester concurrentielle, la compagnie est dans une recherche constante de réduction de coûts. Elle a ainsi opté par exemple pour l’automatisation. De l’enregistrement des passagers à celui des bagages.
Des gains de ce côté. Mais des embauches là où les besoins se font le plus sentir. Dans l’ingénierie informatique, dans le service en vol, et dans l’entretien. Et c’est en ce sens qu’elle dit travailler à ce projet de création de centre de formation aéronautique, en Guadeloupe, faute de personnels disponibles et pour se doter en hôtesses, stewards, et mécaniciens.
Sa mise en service est prévue dans 2 ans, avec une priorité accordée, dit-on, à l’emploi d’ultramarins.
Actuellement, la société compte près de 1300 salariés.
Et pourtant au vu des déconvenues d’Aigle Azur et d’XL Airways, le contexte ne semble guère favorable.
Bénéficiaire tous les ans, le transporteur explique son succès par une gestion attentive et rigoureuse. Tout y est raisonné, indique-t-il : Du renforcement de sa flotte à sa politique de croissance. Pour rester concurrentielle, la compagnie est dans une recherche constante de réduction de coûts. Elle a ainsi opté par exemple pour l’automatisation. De l’enregistrement des passagers à celui des bagages.
Des gains de ce côté. Mais des embauches là où les besoins se font le plus sentir. Dans l’ingénierie informatique, dans le service en vol, et dans l’entretien. Et c’est en ce sens qu’elle dit travailler à ce projet de création de centre de formation aéronautique, en Guadeloupe, faute de personnels disponibles et pour se doter en hôtesses, stewards, et mécaniciens.
Sa mise en service est prévue dans 2 ans, avec une priorité accordée, dit-on, à l’emploi d’ultramarins.
Actuellement, la société compte près de 1300 salariés.